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vendredi 28 février 2014

Notre Média...lieu de débat...

Réflexion sur un tirage au sort dans le monde associtif comme plus démocratique...Ou pas !

Le tirage au sort dans la vie associative
Ces pages sont consacrées à l’examen de la proposition de Mehdi Naïli visant l’attribution des responsabilités de l’association Média Citoyen Diois par tirage au sort. Formulée dans une intention démocratique et dans une association dédiée à l’information locale, cette proposition s’inspire de l’idée qui fait son chemin de la désignation des représentants politiques par tirage au sort. Néanmoins, il est notable qu’elle reproduise pour  la vie associative une réflexion sur la vie politique sans que ce qu’implique le passage d’un domaine à un autre ne soit éclairé. Je n’ignore pas que Mehdi Naïli n’a pas développé son point de vue et que s’il l’avait fait il ne m’aurait pas donné l’occasion de m’attarder sur le problème soulevé. Je montre qu’il existe une opposition décisive entre la vie politique et la vie associative et je retourne le questionnement là où il devrait se poser. J’attire pour cela l’attention sur le fait que la construction purement technique d’un procédé d’élection conduit à perdre le sens même de la démocratie et de la liberté. L’idée du tirage au sort des politiques qui a été formulée dès l’Antiquité gréco-romaine touche la vie de la Cité, c'est-à-dire pour nous, à l’élection des représentants à l’échelle nationale ou territoriale. A ma connaissance, les théories politiques n’étendent pas cette technique élective à la vie associative. Pourquoi ? Les raisons n’en ont pas été éclairées, c’est donc l’occasion d’y réfléchir.
A Suivre : http://mediascitoyensdioisdebats.blogspot.fr/

Die 26150 : l' association "Die et Z'Elles" pour 50 % de maires femmes dans le Diois...



Liberté, égalité, parité ! La nouvelle campagne Die et Z'Elles (Osons le féminisme).
Die et Z'Elles (Osons le féminisme) lance une campagne pour de nouvelles avancées en matière de parité : 50 % de maire.
Alors que la France a été pionnière en votant une loi pour la parité en 2000, notre pays est aujourd’hui à la traîne. La France pointe à la 69ème place dans les classements internationaux sur la parité. Avec 18,5% de femmes députées et 13,9% de Maires, la France fait moins bien que ses voisins.
En pleine période d’élections, Die et Z'Elles (Osons le féminisme) lance aujourd’hui une campagne pour dénoncer le retard pris depuis dix ans en la matière et mettre en avant des propositions pour que le quinquennat qui s’ouvre soit synonyme de nouveaux progrès pour la parité.
La campagne ?
A l’approche des élections municipales de 2014,
Die et Z'Elles (Osons le féminisme) lance la série «Madame la Maire», composée d’interviews et de portraits d’élues venant de toute la France qui partagent avec nous leurs expériences de femmes politiques.
En 2008, le pourcentage de femmes maires est passé de 11 % à 13.9 %, très légèrement tiré vers le haut grâce à la loi sur la parité qui a imposé à cette date autant de femmes que d’hommes sur les listes municipales. Ce chiffre reste aussi marqué par de fortes disparités régionales : on compte 21 % de femmes maires dans l’Yonne, contre 7 % dans les Bouches-du-Rhône et 3 % en Martinique !
De façon paradoxale, ce sont les plus petites communes où la loi sur la parité ne s’applique pas encore qui élisent le plus de femmes maires : elles sont 14 % dans les localités de moins de 3 500 habitants. A l’inverse, dans les villes de 9 000 à 30 000 habitants, les femmes ne représentent que 8 % des maires. 
Si certaines femmes maires de grandes villes sont connues, telles Dominique Voynet, élue à Montreuil, ou encore Valérie Fourneyron, maire de Rouen avant de devenir Ministre de la Jeunesse et des Sports, on connait moins les parcours des femmes élues dans des plus petites communes. Die et Z'Elles (Osons le féminisme) est allé à la rencontre de ces femmes maires, qui œuvrent au quotidien pour leur municipalité et leurs citoyens. Elles partagent dans notre série « Madame la Maire » leur parcours et leurs expériences, et vous invitent à les rejoindre en investissant les têtes de listes municipales.
Dans les assemblée… 
Nous ne devrions pas avoir à écrire ce texte.
Les femmes n'ont-elles pas les mêmes droits civiques –celui de voter et d’être éligible– que les hommes depuis soixante-dix ans déjà ? Des lois dites de parité n'ont-elles pas été votées dès 1999, première mondiale érigeant en principe le fait de favoriser l'égal accès aux mandats électoraux et aux fonctions électives ? Et ne vient-on pas de nommer le premier gouvernement paritaire de la Ve République? Alors comment se fait-il que le pouvoir soit en fait toujours aussi viril ?
L’exclusion des femmes demeure une réalité dans les instances de pouvoir: l’Assemblée nationale élue en 2007, lors des dernières législatives, était à 81,5% masculine. Depuis 1988, sur les 577 circonscriptions, 413 n’ont envoyé aucune femme à l’Assemblée. Cette année, l'UMP n’a investi que 25% de femmes candidates aux législatives. Le classement de notre pays concernant la proportion de femmes parlementaires empire avec les années : la France est aujourd’hui à la 69e place au niveau mondial.
Cette exception française et cette résistance de l’Assemblée Nationale, institution pourtant emblématique de la démocratie représentative, incarne le fait qu’au-delà des équations individuelles, l’inertie d’un ordre sexué perdure. Celui-ci puise ses racines dans notre histoire, y compris démocratique : la citoyenneté à la française, pensée par les Lumières, fait encore de l’ombre aux femmes qui ont été exclues d’un universalisme en réalité masculin. Leur sexe faisant d’elles des êtres d’instinct plus que de raison, elles ont été exclues de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, du suffrage universel, du Code civil… Il nous reste encore à mener un travail de désacralisation de ces principes, entamé par les mouvements féministes pro-parité des années 90.
En conséquence, le monde politique se caractérise encore aujourd'hui par un sexisme ordinaire, parfois inconscient. L’inclusion des femmes, telle que nous venons de le voir au sein du gouvernement, n’est ainsi pas contradictoire avec la persistance de leur exclusion du pouvoir. Elle s’exprime par la désignation de candidates dans des circonscriptions  « difficiles », voire « ingagnables », par les délégations qui leur sont confiées mais aussi par le fait qu’elles sont plus souvent choisies pour leur cumul de différence (sexe, origine réelle ou supposée, âge, affiliation associative, etc.). Nous appelons à la vigilance pour que les usages de la parité ne conduisent pas à une révolution conservatrice assignant les femmes à leur(s) différence(s), mais à une déconstruction de l’ensemble des inégalités.
Enfin, cette mandature se clôt sur des tentatives de remise en cause de la parité. En atteste la réforme territoriale, qui, en remplaçant les conseillers généraux et régionaux par des conseillers territoriaux élus au suffrage uninominal, le mode de scrutin le plus défavorable à la parité, aura pour conséquence de faire reculer de manière spectaculaire les progrès accomplis depuis 2000 au niveau des collectivités locales.
Renaît, avec le renouvellement des Maires, l'espoir de voir la parité progresser de nouveau. Nous, militant-e-s féministes, nous, candidat-e-s, nous, universitaires, nous voulons participer à l’ouverture d’une nouvelle ère de la parité. Pour y parvenir, nous défendons un renforcement des lois dites sur la parité. Afin que la sanction financière ne soit pas qu’incitative mais aussi contraignante, nous soutenons une suppression pure et simple de toutes les aides publiques aux partis qui ne respectent pas la parité des candidatures. Afin de lutter contre la professionnalisation et la confiscation de la vie politique, nous défendons une limitation du cumul des mandats simultanément et dans le temps. Nous nous mobiliserons enfin pour que la Constitution « garantisse » et non plus seulement « favorise » l'égalité, changement sémantique préalable à des mesures plus ambitieuses encore.
La question du partage du pouvoir ultime, le pouvoir politique, est centrale. Remettre en cause le monopole du pouvoir par la moitié masculine de la population n'est ni anecdotique, ni l'apanage d’une élite, ni un luxe outrancier en période de crise. C'est questionner le sens de notre démocratie, la place qu'occupe chacun-e d’entre nous et la manière dont nous voulons vivre et décider ensemble. Toutes et tous ensembles.
Die et Z'Elles (Osons le féminisme).

Die 26150 : Formation à la taille douce des Fruitiers...

Die : Formation à la taille douce des arbres fruitiers...



Les associations Ecologie au Quotidien et Dryade sont heureuses de vous proposer un Stage de taille douce des arbres fruitiers
avec Alain Pontoppidan auteur de "Manuel de Taille douce" aux éditions Terre Vivante
le week-end des 8 et 9 mars 2014 à Die (encore 6 places)
A partir d'observations simples de rameaux et branches, les participants sont amenés à comprendre le mode de fonctionnement naturel des arbres, afin, dans un deuxième temps, de s'initier à la technique de taille douce des arbres fruitiers. La matinée est consacrée à l'observation, et à l'élaboration technique. L'après midi aux travaux pratiques sur le terrain, à l'extérieur.
Coût du stage : 70 € (50 € pour les personnes en situation économique difficile)
Rendez vous : Samedi 8 mars, à 9 heures, salle Beauvoisin à Die
Prévoir des vêtements pour l'extérieur, des bottes, un sécateur. Repas de midi tiré du sac, portez votre pique-nique.
Pour tout renseignement, ou vous inscrire,
Pascale Laussel (Dryade) 06 26 69 25 88
Association Dryade
10 rue Archinard, 26400 Crest
0811 26 00 64
Courriel : contac@dryade26.org
Anne Tesson (Ecologie au quotidien) 04 75 21 00 56
Ecologie au Quotidien
Le Chastel 26150 DIE, Rhône-Alpes, France
Tel : 04 75 21 00 56       

Die 26150 : La citoyenneté, la solidarité et l' humanisme....avec Didier Jouve.



Bonjour à toutes et à tous,
- Nous avons le plaisir de vous faire parvenir le dernier article publié dans le JDD de ce jour :
Les intentions deviennent  favorables à l’environnement, tant mieux. Mais le retard accumulé à Die est important. Ici, l’environnement a souvent été vu comme une contrainte.   Nous pensons de notre côté que l’écologie est  l’avenir du Diois.
- Nous allons réconcilier l’économie, le social et l’environnement dans un programme de développement soutenable. Toutes nos réalisations, pour être votées devront, en même temps :
- L’écologie est une solution, naturellement !
Les intentions deviennent  favorables à l’environnement, tant mieux. Mais le retard accumulé à Die est important. Ici, l’environnement a souvent été vu comme une contrainte.   Nous pensons de notre côté que l’écologie est  l’avenir du Diois.
- Nous allons réconcilier l’économie, le social et l’environnement dans un programme de développement soutenable. Toutes nos réalisations, pour être votées devront, en même temps :
- contribuer à l”emploi local,
- renforcer les solidarités,
- être bonnes pour l’environnement et être pensées en bonne concertation.
- Notre environnement est notre trésor. L’eau, l’air pur, la biodiversité, les paysages  sont nos bijoux. Nous allons en prendre le plus grand soin.
-- Garantissons l’accès à une eau de qualité pour tous : protection des captages, résorption des fuites du réseau, accès aux fontaines, et toujours en régie. Les règles européennes, sont inadaptées à nos cours d’eau méditerranéens. L’eau n’est plus garantie dans les canaux dès cet été. Didier Jouve a piloté deux contrats de rivière, il agira pour une adaptation des règles qui préserve à la fois les milieux et les jardins familiaux. Récupération des eaux pluviales, formations à l’irrigation économe et phyto-épuration optimiseront l’usage de l’eau. Zéro pesticide et produit d’entretien chimique : nous encouragerons jardiniers et habitants à faire de même.
-- Renforçons la nature et la biodiversité dans notre ville avec des plantations uniquement en espèces locales. Le compostage sera promu, qu’il soit municipal, individuel ou collectif. Des budgets de quartier permettront aux habitants de décider comment embellir la ville. Des nichoirs et ruchers seront proposés. Un inventaire de notre biodiversité aidera les habitants à préserver les espèces de nos maisons et jardins. Nous aménagerons des promenades d’accès à la Drôme. Le chemin de rive, les berges et tous les sentiers seront entretenus.
-- Construisons des bâtiments sains. Nous choisirons des matériaux naturels, sans composés nocifs, sans surcoût. Nous savons faire.
-- Utilisons uniquement des énergies renouvelables.
Nous achèterons immédiatement de l’électricité non nucléaire au même prix. Nous produirons de l’électricité photovoltaïque. Pour garantir notre autonomie et créer de l’emploi local, nous remplacerons progressivement les chaudières au fioul et au gaz, par des chaudières bois. Nous utiliserons le bois de notre forêt communale, gérée durablement.
-- Conjuguons environnement et citoyenneté. Avec les usagers, nous travaillerons sur le partage de l’eau, des zones naturelles, de la forêt… accessibles à tous. Nous développerons l’éducation à l’environnement.
-- Nombreux proposent un supplément d’âme verte. L’écologie est une autre façon, solidaire et responsable, de construire notre présent, en respectant les droits de nos enfants. 
- Notre petite rubrique des "on dit que" connaît un certain succès...
“On dit que…”
Nous menons une campagne axée sur des propositions, respectueuse des autres candidats et de manière transparente, avec un local sur rue accessible et des réunions ouvertes dans ce local. Notre programme mis en ligne depuis novembre 2013, est enrichi régulièrement des propositions recueillies. Nous ne pratiquons aucune attaque envers les autres candidats.
Mais notre façon de faire n’est pas forcément partagée. Il arrive que des bruits circulent, des contre-vérités, voire des agressions nominatives. Comment les prendre en compte ? Nous avons décidé d’apporter chaque fois de l’information factuelle. Nous laissons les lecteurs se faire leur opinion sur les auteurs et propagateurs de ces actes significatifs.
Ainsi est née la rubrique « on dit que … » 
- On dit que… « Les écologistes ont fait perdre la gauche en 2008. »
Voir la réponse
- On dit que… «Il faut faire l’union dès le premier tour, sinon la droite va l’emporter. »
Voir la réponse
- On dit que… « Pour Die Naturellement et Didier Jouve refusent de travailler à une alliance. »
Voir la réponse
- On dit que… « Il ne faudrait pas rater les discussions permettant de faire alliance et de gagner le second tour.
Voir la réponse
- On dit que… « Didier JOUVE n’habite pas à Die, il n’est jamais là. »
Voir la réponse
 - On dit que… « Pour Die Naturellement regroupe des professionnels de la politique. »
Voir la réponse
- On dit que… « La liste Pour Die Naturellement n’est pas soutenue par EELV, d’ailleurs le logo EELV n’apparaît pas sur les documents de campagne. »
Voir la réponse
- On dit que… « Notre programme est irréaliste et nos promesses n’engagent que ceux qui y croient. »
Voir la réponse
- On dit que… « Didier Jouve ne me salue jamais dans la rue,
il ne me reconnaît pas. »
Voir la réponse
- On dit que… « Didier Jouve est carriériste. »
Voir la réponse
- On dit que … « Les écolos ont mis le maire au tribunal administratif et laissent les cyclistes heurter et insulter les piétons dans la rue Buffardel. »
Voir la réponse
- On écrit que … « Pour Die Naturellement a un mépris sous-jacent pour le bilan de la gauche. »
Voir la réponse
- On écrit que … « Le projet de piscine couverte est séduisant mais irréaliste. »
Voir la réponse
- On dit que… « Pour Die Naturellement est de droite. »
- On dit que… « On ne voit pas bien ce que l’écologie pourrait bien dire sur la répartition des richesses, à part (ce qu’elle fait d’ailleurs…) que la crise écologique retombe en premier sur les moins favorisés de la société. Le reste du débat sur la crise écologique est commun avec les “autres pensées” de gauche. »
- Vous êtes un peu plus de 200 à recevoir de nos nouvelles. Si les diois votent pour leurs idées, nous arriverons en tête le 23 mars prochain.
Alors, vous nous aidez ?
A bientôt
- Didier Jouve et l'équipe de Pour Die Naturellement

Die 26150 : Santé, actions sociales et qualité de vie par Mr Trémolet...



Désormais , nous savons que 4 listes concourent à Die aux Élections Municipales : Deux à Droite; celle du Maire sortant Georges Berginiat, celle de son ancien premier adjoint Gilbert Trémolet. Et deux à Gauche, celle menée par le Parti Communiste de Philippe Leewenberg et celle des Écologistes menée par Didier Jouve. MCD
Gilbert Trémolet /  Santé / Actions sociales et Qualité de Vie
Santé:
Nous apporterons un soutien sans faille à notre Hôpital. Cependant, nous pensons qu'il faut continuer à travailler positivement avec l'administration, et  mettre en place avec l'ARS un contrat local de santé mutuellement partagé et accepté, et surtout,  pour une durée suffisamment longue, pour assurer à tous les acteurs de ce dossier (médecins, salariés, patients, élus, …) la visibilité nécessaire pour restaurer confiance et sérénité. Par ailleurs, nous pensons que le meilleur garant de la pérennité de notre Hôpital, c'est le développement économique, la création d'emplois et l'arrivée de nouvelles populations.
Nous créerons la maison médicale dans l’ensemble immobilier Joseph Reynaud. Que ce soit dans le domaine de la santé, ou dans d'autres domaines, nous prioriserons l'implantation en centre ville.
Actions sociales :
La précarité et la misère gagnent chaque jour du terrain, et cela, malheureusement, ne devrait pas s'arranger dans les années qui viennent.  De ce point vue, le dernier rapport du Conseil Intercommunal d’Action Sociale, après une analyse de la situation en Val de Drôme, définit 3 axes d’actions prioritaires : l’aide à la mobilité, faciliter l’accès aux droits, renforcer le lien social. Nous pensons que ces orientations correspondent bien à la problématique de notre territoire. Cependant, ces actions nécessiteront des moyens humains et financiers supplémentaires
A cet égard, nos services sociaux, nos services publics, nos associations caritatives et sociales, dont il faut saluer la compétence et la générosité, ont de plus en plus de mal à faire  face, d'autant que leur action ne s'arrête pas à notre ville, mais bénéficie à tout le territoire.
Compte tenu des contraintes budgétaires à venir, notre ville ne pourra accroître suffisamment ses aides pour donner à ces acteurs les moyens qui leurs sont nécessaires.
Nous pensons que la solidarité doit à présent être assumée par l'ensemble des communes de notre territoire et nous proposerons de déléguer notre compétence dans le Domaine Social à la Communauté de Communes du Diois, qui semble avoir fait un premier pas en ce sens, avec la création du Palais Social.
Nous pourrons ainsi, multiplier les moyens financiers, humains et structurels de nature à aider le plus grand nombre de nos concitoyens dans la difficulté.
Qualité de la vie :
La qualité de la vie résulte d'un ensemble d'actions qui concourent au mieux être de nos concitoyens et à leur sécurité.
Sur le plan environnemental : nous installerons une station de covoiturage, nous aménagerons des espaces spécifiques pour vélos (piste et parking), nous reverrons le plan de circulation de la ville et aménagerons à chaque fois que possible des espaces piétonniers. Nous favoriserons la maîtrise des consommations d'énergie, des produits et des matériaux utilisés par la commune.
En ce qui concerne le Centre Ville: nous ferons des rénovations urbaines, nous mettrons à niveau l'éclairage, nous organiserons une vigilance permanente de la Gendarmerie et de la Police Municipale sous forme de patrouilles piétonnières ou en VTT, nous mettrons en test de la vidéo/protection dans les lieux stratégiques, nous favoriserons le travail permanent avec les services sociaux et les associations caritatives et sociales afin de favoriser les actions préventives. Nous veillerons à ce que les pompiers disposent des moyens nécessaires à leurs interventions.
Rendez-vous à notre réunion publique
Lundi 3 mars 2014 à 19h
à la salle Beauvoisin (sous la salle polyvalente) 
Droit de réponse : Dossier Martouret
Le dossier dont il est question,  a été initié sous la mandature de M.Geffray, à l'époque Président de la Communauté de Commune. La CCD avait fait l'acquisition du Domaine du Martouret en 2005 et souhaitait réfléchir à son devenir. Pour mener à bien la réflexion avec les élus, le Cabinet MBBB a été mandaté pour définir le concept à retenir pour aménager le domaine. Il  a mené sa mission de 9/2007 à 2/2008. Sur les premières orientations de ce travail, le CAUE a fourni en avril 2008 une étude urbanistique comportant une Résidence Hôtelière, un gymnase, un DOJO et une piscine couverte et la rénovation des bâtiments existants.
 Par ailleurs, considérant que cette étude faisait ressortir un besoin d'investissements de 7 Millions d'€, la MEEF (Mission d'expertise économique et financière), service de la Trésorerie Générale, est saisie. Dans son premier rapport, elle fait ressortir la nécessité de mieux définir le contenu du projet, de développer les fréquentations du site pour  créer de nouvelles recettes, et de formaliser le tout par une étude de faisabilité.
A cet effet, un appel d'offre a été lancé, et parmi plusieurs candidats, Bernard Feuiltaine a été recruté pour mener à bien cette mission, dont les conditions sont exposées dans un article du JDD du 10 octobre 2008
Article JDD -10 octobre 2008

Cette étude est finalisée et présentée au bureau communautaire de fin janvier 2009, elle comporte trois phases :
–1- investir pour permettre à l'activité de l'association du martouret de conforter son développement.
–2-vendre une partie des terrains pour favoriser l'implantation d'activités nouvelles et permettre la création de l'ensemble sportif.
–3-renforcer le potentiel de développement des activités du domaine, notamment dans le cadre du programme Naturasport.
Suite à cette présentation, la CCD saisit la MEEF pour avis, qui est rendu par cette dernière en Mars 2009. Il y est noté que les objectifs et priorités sont clairement redéfinis et les orientations retenues paraissent de ce point de vue, y répondre de façon adaptée et que les contraintes et risques sont clairement rappelés et correctement appréciés. Il est néanmoins souhaité que la coordination des différents acteurs du domaine, la définition de leur rôle respectif , et la cible de clientèle soient mieux précisées.
C'est à la suite de ces conclusions que la CCD prend la décision de suivre le plan d'action élaboré par l'étude de faisabilité et d'investir dans la réhabilitation des bâtiments, permettant ainsi à l'association du martouret de développer son activité sur la totalité de l'année.  Par ailleurs, cette étude, concluant à la solvabilité de l'association, a facilité le renouvellement du Bail dont elle bénéficiait.
A ce jour, la première phase de ce projet, a été menée à bien, et nous souhaitons poursuivre par la deuxième phase, qui bien entendu, compte tenu du temps passé, et des remarques de la MEEF, nécessitera une actualisation. Pour une grande part, ce déroulement est parfaitement résumé par un article paru dans le JDD du 6/2/2009

Article JDD - 6 février 2009Quant à l'IEDV, à ma connaissance, c'est un organisme qui accompagne les associations et qui n'est pas intervenu dans ce processus.
En ce qui me concerne, j’étais Vice-Président de la CCD en charge de l'Economie, à cette époque et membre du Comité de Pilotage de ce projet. A ce titre, je salue le professionnalisme de l'ensemble des intervenants, et la responsabilité dont les élus ont fait preuve et j'invite l'auteur de cet article et ceux qui souhaiteraient l'accompagner, à venir en discuter avec moi.
En tout état de cause, avec mon équipe, nous  continuerons ce travail, comme dans les phases précédentes, dans un esprit d'ouverture et de partage, et rien ne sera fait qui puisse nuire aux activités actuelles du domaine, sachant qu'à notre avis, la piscine couverte et le gymnase aux normes ne présentent pas de problèmes particuliers à cet égard.
Gilbert Trémolet et son équipe

La catastrophe nucléaire de Fukushima n' en finit pas...



Petit journal antinucléaire sur l’actualité de Fukushima
L’eau radioactive des fuites arrivera inéluctablement à l’océan.
Au moins 100 tonnes d’eau radioactive ont fui d’un réservoir de retenue à la centrale nucléaire de Fukushima, dans le nord du Japon.
Arnold Gundersen, un ancien dirigeant de l’industrie nucléaire et ingénieur en chef avec plus de 30 années d’expérience au Fairewinds Associates, estime que l’eau stockée dans le réservoir au site de Fukushima contient un isotope nommé strontium 90, qui provoque la leucémie.
Pouvez vous commenter la déclaration de TEPCO au sujet des 100 tonnes d’eau radioactive qui ont fui cette semaine d’un réservoir de la centrale nucléaire de Fukushima?  Est-ce que cela démontre vraiment que les autorités japonaises sont incapables de maîtriser la crise de Fukushima ?
Le réservoir a laissé fuir une quantité extraordinaire de rayonnement: 230 millions de désintégrations par seconde par litre. Ce que cela signifie: imaginez une bouteille de 1 litre de soda ; cette bouteille de 1 litre émettrait 230 millions d’étincelles nucléaires de rayonnement chaque seconde. Cela a donc été une fuite extraordinairement radioactive.

jeudi 27 février 2014

Offre d' Emploi...



Le Réseau "Sortir du nucléaire" recrute
Le Réseau cherche un-e nouveau/nouvelle responsable des bases de données et des outils informatiques, pour un poste à pourvoir à Lyon à compter du 12 mai 2014.
N’hésitez pas à diffuser l’offre d’emploi ! Les candidatures sont ouvertes jusqu’au mardi 1er avril avant minuit.
Offre d'emploi
Date limite de réponse : au plus tard le 1er avril 2014 avant minuit.
Le Réseau "Sortir du nucléaire"
"Responsable des bases de données et des outils informatiques"
Poste basé à Lyon à plein temps en CDI
Le Réseau "Sortir du nucléaire", association loi 1901, est une fédération de 930 associations agréée pour la protection de l'environnement dont l'objectif est l'arrêt du nucléaire et la promotion des solutions pour y parvenir. Le Réseau est dirigé par un Conseil d’administration bénévole, constitué de 7 titulaires et 7 suppléant-e-s élu-e-s par son Assemblée générale. Le Réseau emploie 15 salarié-e-s.
L’activité du Réseau se décline en missions nombreuses et variées : organisation d'actions et de manifestations, mise en oeuvre de campagnes d’information sur le nucléaire et ses alternatives, édition et diffusion d’une revue trimestrielle et de diverses publications, communication en direction des médias et du grand public, veille informationnelle et réactions à l’actualité, lien avec et coordination entre associations et militants, actions en justice, relations avec les mouvements antinucléaires à l'étranger, …
Les missions du poste :
Sous la supervision de la Coordination générale et en interaction directe avec le reste de l’équipe :
- Création, maintenance et amélioration des outils informatiques
- Création, maintenance et amélioration d'outils dans les domaines de la comptabilité, de la gestion, de la connaissance de nos contacts (individu ou groupe membre), de la gestion des abonnements à la revue, de l'enregistrement des dons, des adhésions à notre association, des participations à l'assemblée générale.
- Ces outils reposent sur les applications existantes : principale application maison batie sur une très ancienne version du L4G 4D, gestion (suite Cogilog 5), Groupware web (Feng Office), Plateforme de travail collaborative web (Moodle), Listes et diffusion des mails (sympa)
- Aide ponctuelle à l'équipe web pour la gestion des bases mysql (aide au développement).
- Aide occasionnelle pour la mise en place de la saisie par des bénévoles (éventuellement saisie à distance).
- Aide à l'accompagnement de la mise en place de nouveaux outils plus performants pour une gestion optimisée de nos fichiers (adresses postales, mails...)
- Compétences informatiques requises :
- Langages informatiques : php, bash, AppleScript, 4D, SQL, javascript
- Capacités à apprendre de nouveaux langages
- Systèmes de Gestion de base de données : mysql, postgres
- Systèmes d'exploitations : mac, linux
- Administration Réseau
- Administration serveur web
- Bonne connaissance en tableur (openoffice, excel)
Les qualités requises :
- Travail en équipe, disponibilité, sens du service aux utilisateurs,
- Bonnes capacités d’organisation et de priorisation,
- Rigueur, autonomie, fiabilité, esprit d'initiative et d'analyse,
- Intérêt pour la lutte antinucléaire.
Ce poste en contrat à durée indéterminée basé à Lyon est à pourvoir à compter du lundi
12 mai 2014.
Salaire : 2 000 € brut mensuel, hors avantages sociaux (chèques déjeuners, mutuelle, contrat de prévoyance...)
Envoyez votre candidature (lettre de motivation, CV, photo), uniquement par mail, impérativement dans un seul document au format PDF au plus tard le 1er avril 2014 avant minuit à : recrutement@sortirdunucleaire.fr
Veuillez absolument indiquer comme sujet de votre mail "Responsable des bases de données et des outils informatiques".
Merci de faire circuler cette annonce à toute personne susceptible d'être intéressée.
Réseau "Sortir du nucléaire"
9 rue Dumenge 
69317 Lyon cedex 04

Saillans : au Local associatif l' Oignon...



L’Oignon local associatif
Bonjour,
Vendredi 28 février à 20h30 : KANTOCH
Duo de chansons noires et magie blanche acoustique (Portez-vous bien Cie) à venir :
Samedi 15 mars à 20h30 : Antoine Faure slam
Vendredi 21 mars à 20h30 : Lazy Bones
Vendredi 28 mars à 20h30 :
M'zelle Fa
le planning de chaque semaine :
le lundi à 18h : atelier d'écriture avec Ludmila
             à 18h30 : discussion en espagnol
le mardi à 17/19h : permanence de l'Accorderie
              à 21h : discussion en anglais
le mercredi matin : permanence et dépôt de pain
              à 13h30 : cours de l'école de musique
              à 18h : apéro vinyl
le 1er jeudi de chaque mois : soirée jeux
le samedi matin :
permanence et dépôt de pain
le dimanche matin : permanence
à bientôt !
L'Oignon local associatif
55, Grande Rue
Saillans

Rhône-Alpes : alerte rouge pour les abeilles...tuées par les pesticides.



ALERTE ROUGE POUR LES ABEILLES
Amis apiculteurs,
Depuis plusieurs années, par nos rapprochements avec une coopérative fruitière, nous espérions sensibiliser la profession sur les méfaits des molécules utilisées avant et pendant la floraison.
Les arbres fruitiers commencent à fleurir dans notre département du Rhône.
Depuis deux années, toutes les colonies qui ont butiné sur les arbres fruitiers traités à l’acétamipride végètent et disparaissent en quelques mois. Une grande partie des essaims créés au printemps n’existent déjà plus au moment de la mise en hivernage des ruches.
Nous avons effectué des prélèvements sur le pollen incriminé dans cette destruction de colonies et le Docteur BONMATIN du CNRS a montré la présence de 2,3 ng/g d’acétamipride par gramme de pollen ce qui est énorme compte tenu de la puissance destructrice du produit.
Pratiquement aucune colonie n’a survécu à ce massacre par ces insecticides systémiques qui portent pourtant de très jolis noms : Suprême, Bambi, Equinoxe …
L’apiculture n’est plus possible dès qu’un insecticide néonicotinoïde est utilisé avant ou pendant la floraison des abricotiers, pêchers, pruniers, pommiers, colzas …
Et pourtant, le Suprême 20 SG à base d’acétamipride bénéficie de la mention abeille. Il est malheureusement pulvérisé en toute confiance sur de nombreuses cultures en fleurs.
Malgré les effets d’annonce, rien n’est fait réellement pour que cesse ce massacre.
Ce n’est pas la suppression partielle par l’Europe et pour deux ans de trois molécules (chlothianidine, imidaclopride et thiamétoxam) qui suffira à protéger nos abeilles.
Enlevez rapidement vos ruches des lieux où les abeilles ne sont pas respectées.
La pollinisation des cultures ne justifie pas que nos abeilles soient sacrifiées sur l’autel du profit.
Ouvert au dialogue avec les agriculteurs, nous attendons de vraies décisions politiques :
- Interdiction totale et durable de tous les insecticides néonicotinoïdes.
- Revoir l’attribution de la mention « Abeille » sur certains produits.
- Suppression de la DL 50 dans la procédure d’homologation des produits.
Syndicat d’Apiculture du Rhône
et de la Région Lyonnaise
Siège social : Chambre d’Agriculture
18 rue des Monts d’Or
69890 - La tour de Salvagny
Site internet : www.rhone-apiculture.fr
E-mail :contact@rhone-apiculture.fr Le 27 février 2014

Vers une loi courageuse sur la Transition Energétique ?



Que faut-il pour que la loi  de « Transition Energétique » soit une bonne loi ?
C.D. : Il faut la mise en oeuvre des engagements pris et un volet très ambitieux sur les économies d'énergie. Le temps des demi-mesures est révolu. Si on rate ce rendez-vous, ce ne sera pas un problème simplement pour les écologistes, mais pour tout le pays. Cela signifiera qu'on aura manqué de capacité de conviction ou que certains auront manqué à leurs responsabilités. Nous devons diminuer la part du nucléaire, pas uniquement pour des questions de sécurité ou de déchets, mais parce que si on ne prend pas ce virage dès aujourd'hui – et c'est presque tard déjà – nous subirons l'avenir. Cela relève du destin collectif de la France. Nous allons accueillir la conférence internationale sur le climat en 2015 : le pays hôte doit être exemplaire.
Le gouvernement en est-il conscient ?
C.D. : Il ne l'a pas encore démontré, et je le regrette. Les élus locaux, les chefs d'entreprise l'ont mieux compris : ils sont dix fois plus en avance que les responsables politiques nationaux. Chacun doit comprendre qu'il n'est pas question d'un accord entre partis politiques mais d'une capacité à engager l'avenir de ce pays. Le président de la République avait raison de dire que la loi sur la transition énergétique devait être la loi majeure du quinquennat.
Cécile Duflot, est ministre de l'Égalité des territoires et du Logement dans le premier et le deuxième gouvernement  de Jean-Marc Ayrault. Elle est élue députée de la Sixième Circonscription de Paris , lors des élections législatives , avec 72,18 % des voix au second tour. Cécile Duflot étant membre du gouvernement, sa suppléante Danièle Hoffamn-Rispal siège à sa place à partir du 22 juillet . elle s’est plusieurs fois distinguée par des prises de position allant à l’encontre de la ligne gouvernementale : opposition à la construction de l'Aéroport de Notre Dames des  landes , de l'EPR, et, plus récemment, ses réserves concernant la politique d’austérité du gouvernement.
- Transition énergétique : les ONG présentent leur "vrai projet de loi" : Face aux atermoiements du gouvernement, neuf ONG, ont présenté "le vrai projet de loi de programmation pour la transition énergétique". Ce texte, construit autour de mesures consensuelles, servira à évaluer l'ambition du futur projet gouvernemental.
Ce mercredi 26 février, neuf associations écologistes ont présenté leur "vrai projet de loi de programmation pour la transition énergétique". Ce texte, "reprend 80% des mesures consensuelles du débat national sur la transition énergétique (DNTE), et non pas la position de base des associations", explique Anne Bringault, coordinatrice sur la transition énergétique pour les ONG, qui s'interroge sur le retard pris : "est-ce-que la transition énergétique, ça commence à bien faire ?".
Les ONG mettent sur la table ce projet de loi dans un contexte particulier. En effet, hier soir, les sénateurs ont adopté une résolution centrée sur le prolongement de la durée de vie des réacteurs français et leur remplacement progressif par des EPR. Par ailleurs, demain doit se tenir une réunion de la commission spéciale du Conseil national pour la transition écologique (CNTE) après l'annulation de la précédente, début février. Une réunion dont les associations n'attendent rien, le ministère leur ayant indiqué qu'aucun élément rédigé ne leur sera présenté.
Mépris et reculs
En préambule, Malika Peyrault, des Amis de la Terre, a dénoncé le "mépris" du gouvernement vis-à-vis des aspirations des citoyens et de la société civile. Elle critique le retard pris dans la rédaction du projet de loi, l'absence de pilotage politique, la rédaction du texte ayant été confiée à la Direction générale général de l'énergie et du climat (DGEC) du ministère de l'Ecologie, ainsi que l'insertion d'éléments hors débat sur le transition énergétique, et en particulier des dispositions relatives à l'enfouissement des déchets nucléaires.
Quant au Réseau Sortir du nucléaire (RSN), il pointe les "reculs" sur le nucléaire et notamment concernant la fermeture de la centrale de Fessenheim et la réduction à 50%, d'ici 2025, de la part du nucléaire dans la production électrique française. On se dirige "vers un scénario Proglio", déplore Charlotte Mijeur, c'est-à-dire un maintien de la puissance actuelle de production du parc nucléaire français associé à un développement des renouvelables pour réduire la part relative du nucléaire dans la production électrique. Et de qualifier d'"inacceptables, la logique de rentabilité à court terme d'EDF".
La réduction de la part du nucléaire est l'une des principales attentes des ONG de la future loi. En effet, "il est impossible de maintenir le nucléaire et d'avoir une politique de sobriété", estime la représentante de RSN. Un point repris par Maryse Arditi, de France Nature Environnement (FNE), qui explique que la "stratégie Proglio" implique une croissance de la consommation énergétique française de 3,5 à 4% par an. "Seul Henri Proglio peut se permettre de proposer un scénario aussi improbable", juge-t-elle, rappelant que la consommation énergétique est en baisse. Quant à inverser la tendance, elle a exprimé de forts doutes, expliquant que le déploiement d'un parc de 3 millions de véhicules électriques n'entraînerait qu'une hausse de 1% de la demande électrique.
Des mesures à court terme pour préparer le long terme
Du côté des propositions, les associations ont insisté sur les éléments les plus structurants de leur projet de loi. En premier lieu, le document se base sur une perspective de long terme articulée autours de trois enjeux : l'atteinte du facteur 4, c'est-à-dire la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre (GES) à l'horizon 2050 par rapport à 1990, la réduction à 50% de la part du nucléaire et l'objectif de voir l'ensemble du parc immobilier français atteindre un niveau de performance énergétique bâtiment basse consommation (BBC) d'ici 2050. Lors du DNTE, "les ONG ont gagné le débat sur le long terme et le Medef celui sur le court terme, c'est-à-dire celui sur les mesures concrètes", analyse Maryse Arditi qui estime qu'au-delà des trois grands objectifs fixés par les ONG se pose la question de savoir comment les mettre en œuvre dès maintenant.
Concrètement, les ONG souhaitent tout d'abord que le projet de loi fixe un cap en matière d'énergies renouvelables. A ce sujet, Raphaël Claustre du Cler déplore le "rôle ambigüe" joué par la France au niveau européen. Si la France a défendu un objectif renouvelable pour 2030, elle s'est opposée à ce qu'il soit décliné au niveau des Etats membres. De même, il regrette que soit étudié, en France comme en Europe, l'abandon des tarifs d'achats, alors même que ces tarifs "sont la solution la moins chère et la plus démocratique". S'agissant des expérimentations locales, le représentant du Cler souhaite surtout que "le cadre règlementaire soit simplifié pour les massifier".
En matière de maîtrise des consommations d'énergie, le projet de loi des ONG s'appuie sur le triptyque : information des ménages, offres répondant aux besoins et financements adéquats. Par ailleurs, il faut "imposer de ne pas rater les bonnes étapes de la vie du bâtiment", insiste Raphaël Claustre. Il ne s'agit pas d'imposer la rénovation énergétique des bâtiments, mais plutôt de s'assurer que chaque opération de rénovation importante intègre les enjeux énergétiques connexes.
Quant aux transports, il s'agit de "transporter mieux, moins et autrement", explique Lorelei Limousin du Réseau Action Climat (RAC), regrettant que le seul axe de la politique gouvernementale soit le soutien aux véhicules électriques. En pratique, le projet de loi propose de réduire la mobilité contrainte, en limitant l'étalement urbain via un conditionnement des aides publiques à l'accessibilité aux transports en commun, de prioriser le financement du rail et des transports collectifs, de lancer des appels à projets dédiés aux nouvelles mobilités et de réduire la vitesse maximale à 110 km/h sur les autoroutes et à 80 km/h sur le reste du réseau.
Evidemment, le financement reste un enjeu clé et s'agissant de ce point, les associations plaident pour le soutien à l'investissement citoyen et pour une structure de financement publique qui pourrait emprunter à bas coût, à l'image de la banque allemande Kreditanstalt für Wiederaufbau (KfW). Elles rappellent aussi qu'une importante conférence bancaire et financière de la transition énergétique a été annoncée par François Hollande lors de la conférence environnementale, le 20 septembre 2013. Mais elle se tiendra "plutôt en juillet qu'en juin", déplore Raphaël Claustre.
Ecologie au Quotidien
Le Chastel 26150 DIE, Rhône-Alpes, France
Tel : 04 75 21 00 56       

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Les Lobbies confisquent la démocratie...

Extrait (pp 181-184) du récent livre de José Bové intitulé, Hold-up à Bruxelles

La grande bataille du libre-échange avec l’Amérique du Nord


Nous vous présentons un court extrait (pp 181-184) du récent livre de José Bové intitulé, Hold-up à Bruxelles - Les lobbies au cœur de l’Europe, publié cette année aux éditions La découverte. L’extrait publié est très instructif sur les enjeux des actuelles négociations sur le libre-échange et sur les modalités de leur réalisation. D’autres chapitres comme celui portant sur la lutte contre l’exploitation du gaz de schiste en France, en Pologne et dans l’ensemble de l’Europe sont riches d’enseignements. Un livre à se procurer et à lire avec attention pour bien comprendre la similarité des problèmes auxquels on est confronté en Europe comme en Amérique du nord. Le dossier qui va mobiliser le plus mon attention dans les mois à venir est celui de deux traités de libre-échange avec l’Amérique du Nord : l’Accord économique et commercial global (AECG) signé le 18 octobre 2013 par le président de la Commission européenne avec le Canada et qui doit être ratifié par le Conseil et le Parlement européens dans sa version politique avant l’ouverture d’un débat « technique » de cinq à sept ans portant sur les aspects concrets ; et le Transatlantic Trade and Investment Partnership (TTIP)a, le traité de libre-échange avec les États-Unis dont la négociation a débuté le 8 juillet 2013. C’est sur ce dernier que se concentre la pression des lobbies, à la faveur de l’opacité de la Commission et du Conseil, ce qui suscite l’inquiétude d’un nombre croissant de députés européens et de la société civile des deux côtés de l’Atlantique. Contrairement au traité avec le Canada, le TTIP ne prévoit pas d’accord global préalable mais des négociations directes sur les différents chapitres, ce qui le rend encore plus dangereux.

mercredi 26 février 2014

Barnave : à l' Aubergerie ce 2 mars 2014...


Le Vercors primé au Salon de l'Agriculture...



Le Vercors primé au Salon de l'agriculture
Bonjour à tous,
Lors de la remise de prix du concours national des Prairies Fleuries, Hugues et Didier ARGOUD-PUY,  ont obtenu le "1er prix d'excellence agri-écologique" dans la catégorie "prairie fauchée et pâturée (altitude)".
La remise des prix a eu lieu hier après-midi au salon de l’agriculture par le ministre de l’Agriculture Mr Le Foll. Cette année, le concours prairies fleuries s'est vu récompensé de ces 4 années d'existence par son entrée dans le concours général agricole.
Crédit photo : Gregory Loucougaray
Le Vercors primé !
La parcelle de prairies fleurie du GAEC Les Allières à Villard-de-Lans (Hugues et Didier ARGOUD-PUY), proposée par le Parc naturel régional du Vercors au concours national des prairies fleuries 2013, a obtenu le "1er prix d'excellence agri-écologique" dans la catégorie "prairie fauchée et pâturée (altitude)".
La remise des prix a eu lieu hier au salon de l’agriculture par le ministre de l’Agriculture Mr Le Foll. Ce concours, organisé par les Parcs naturels régionaux, les Parcs nationaux, les Chambres d'agriculture et de nombreux partenaires a réuni depuis sa création plus d’un millier d’éleveurs qui s’engagent pour les meilleures pratiques du point de vue agricole et écologique sur leurs prairies naturelles. Cette année, il s’est vu récompensé de ces 4 années d’existence par son entrée dans
le concours général agricole et a été également reconnu comme un engagement au titre de la Stratégie nationale pour la biodiversité (SNB).
Entre avril et septembre 2013, les 34 jurys locaux, composés chacun d’experts agronomes, écologues et apicoles (plus de 150 experts mobilisés), ont visité environ 250 parcelles en compétition, en présence des exploitants. Pour apprécier les qualités de chaque prairie, les jurys s’appuient sur des indicateurs de végétation, notamment sur la présence de plantes indicatrices facilement reconnaissables, choisies pour leur intérêt fourrager, écologique et mellifère et garantes d’un bon équilibre agri-écologique. Le jury national du concours s’est réuni le 7 novembre 2013 sous la présidence de Pierre-Yves Motte (Chambres d’agriculture France) et a élu les sept lauréats du concours. Les résultats sont tenus secrets jusqu’à la remise des prix qui a lieu salon de l’Agriculture.
Lors de la cérémonie de remise des prix, les éleveurs lauréats recevront le prix d'excellence agriécologique mettant en valeur leur travail ainsi que les services rendus par leurs prairies fleuries à la qualité des fourrages (qui se répercute sur la qualité des produits : lait, viande, miel...) à l’apiculture
et au maintien de la biodiversité (nombreuses espèces animales et végétales présentes dans ces milieux). Le concours est organisé dans une cinquantaine de territoires (contre 18 en 2010). 29 territoires de Parcs naturels régionaux et 3 de Parcs nationaux et dans une vingtaine de territoires : 15 chambres d'agriculture, 7 collectivités territoriales, des association de développement agricole ou de protection de l'environnement (2 Conservatoires d'espaces naturels, 2 ADASEA - Association Départementale pour l'Aménagement des Structures des Exploitations Agricoles, 3 associations environnementales, 3 syndicats d'AOP) se mobilisent !
Salon international de l'agriculture
Contact : Jean-Luc Langlois 06 08 28 66 16
Sandrine Collavet

Le viticulteur qui a refusé de polluer : verdict ce 7 avril...



Un viticulteur poursuivi pour avoir refusé de polluer
Une amende de 1000 euros a été requise à l'encontre d'Emmanuel Giboulot, un viticulteur qui n'a pas voulu traiter ses vignes avec des pesticides. Poursuivi devant le tribunal correctionnel de Dijon, son histoire a enflammé les réseaux sociaux. 500 000 personnes ont signé une pétition en soutien au viticulteur.
Jugement ce 7 avril
Emmanuel Giboulot, un vigneron bourguignon, comparaissait, lundi 24 février, devant le tribunal correctionnel de Dijon pour avoir refusé de traiter 10 ha de côtes-de-beaune et de hautes-côtes de nuits contre la flavescence dorée. Le parquet a requis une amende de 1.000 euros, assortie pour moitié du sursis.
"Ce qui va se jouer lors de ce procès dépasse de très loin mon cas personnel : à travers moi, c’est toute l’agriculture respectueuse de l’environnement, qui est visée. Si je suis condamné, les agriculteurs bio et non bio comprendront qu’ils doivent obéir aveuglément aux injonctions des autorités, y compris si cela implique d’empoisonner leur propre terre et décimer plus encore les abeilles et autres insectes pollinisateurs", a-t-il expliqué dans une vidéo postée sur internet. A quelques heures de l'audience, la pétition lancée en soutien à Emmanuel Giboulot avait rassemblé près de 500 000 signatures.
Flavescence
Au début de l'été 2013, ce viticulteur bio refuse de traiter ses raisins contre la flavescence dorée, une maladie mortelle pour le cep. Le retour de bâton est immédiat : contrôlé par la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (Draaf), fin juillet, il est convoqué devant le délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune pour infraction au Code rural. Ce qu'on lui reproche ? Ne pas avoir respecté l'arrêté préfectoral qui imposait un traitement insecticide à tous les viticulteurs de la Côte-d'Or.
Le vigneron encourt jusqu'à 30 000 euros d'amende et six mois d'emprisonnement. Le tribunal correctionnel a mis sa décision en délibéré au 7 avril prochain.

Pole emploi Rhône Alpes communique...

 



Cet email vous est adressé par Pôle emploi, dans le cadre d'une campagne sur les emplois d'avenir
en Rhône-Alpes menée par le Service Public de l'Emploi (Direccte, Pôle emploi, Missions locales, Cap emploi et Afpa)