Die 26150 : Chaine Humaine contre le nucléaire....

Quelques  nouvelles de la Drôme ou nous résistons au nucléaire ce jour  25 novembre ( 14 centrale en Rhône Alpes). Pour imaginer un monde économe en énergie, efficace en production et plein d'idées pour des énergies renouvelables ...
Claude Veyret

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Une chaîne humaine contre le nucléaire

Vêtue de gilets fluo, la foule s'est déployée dimanche après-midi le long des rues de Die, entre la sous préfecture, le boulevard du Ballon et retour à la cathédrale, place de la République formant une "chaîne humaine pour sortir du nucléaire", pour se remémorer les catastrophes de Fukushima et Tchernobyl.

Plusieurs dizaines de voitures de la Vallée du Rhône et d’Ardèche  sont venues pour ce moment symbolique. La chaîne a rassemblé  157 personnes. Démarrée peu après 14 h la chaîne s’est ébranlée  entre chants et slogans : Le nucléaire, çà commence à bien faire ! »   

Brandissant des drapeaux Sortir du nucléaire et moult pancartes faites maison, les militants se sont déployés en se tenant par la main ou en étant reliés par des rubans adhésifs afin d'occuper tout l'espace sur un km « Je trouve ça symbolique que la chaîne humaine se refasse ici car rien n’a changé depuis le nouveau gouvernement. C'est une mobilisation citoyenne, pour clairement dire que le peuple de France ne veut pas de l'énergie nucléaire », a déclaré Mme Christine Hasse de SDN26, au bras de Marc Isoard, responsable de l’Association Dioise de Transition Energétique, organisatrice de cette manifestation. « Avec ses 14 réacteurs, la vallée du Rhône est en effet la région la plus nucléarisée d'Europe. C'est un moment où nous marquons  les souvenir de l'horrible tragédie de Fukushima et Tchernobyl. C'est pour ne pas oublier, c'est aussi un geste de solidarité avec le peuple japonais », a ajouté Mr Marc Isoard. C'est également pour « marquer notre espoir qu'avec le changement de président et de gouvernement, nous allons travailler à la sortie du nucléair et à la mise en place d’énergies renouvelables sur nos territoires » concluait Mme Christine Hasse.