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lundi 18 juin 2012

Die 26150 : Harold David sur le Grill...


Bilan des Espiègleries (Ex fête de la Clairette)  managées par le Festival Est Ouest/Théâtre de Die qui ressemblait sans s’y méprendre à un véritable fiasco : absence de public, ville morte, commerçants court-circuités, prestataires extérieurs (alimentation et  imprimerie pour pas dire lointaines), gabegie financière  (Affichages et impressions), Prédations de subventions publiques , culture business et consommation de la culture comme fin,  et  snob-age des associations locales, racolage de bénévoles,  cette posture hautaine et incohérente ( on est aux antipodes du Développement Durable) a indisposé les commerçants et artisans de Die, mais aussi le monde associatif , artistique et culturel du Diois ( les réactions sont nombreuses et diverses). Seulement 70 personnes se sont inscrites de l’extérieur de Die, même les estivants étaient absents. Et les Diois connaissent la Clairette. N’en déplaise à ses dirigeants le festival est totalement incompétent pour réalisé des évènements populaires et sympathiques. Mais aussi de qualité, nous reviendrons sur le Festival Est Ouest qui en plus d’une médiocrité reconnue ne rassemblent plus que quelques nostalgiques du Festival de la Belle époque. N’est pas qui veut Ton Vinck, Jean Louis Darrière, Bernard Lelièvre, Gérard Henry ou nos amis  Jacques Coutureau et André Pitte, dit  avec justesse Jean Claude Peysson. Pour les Dioises et Diois, nous confirmons. 
A.Idelon.
Ce week-end du 12 13 mai restera à jamais gravé dans nos mémoires.
Enorme fête de la Clairette à Meyrosse-ville : Des chapiteaux tous plus jolis les uns que les autres, des petits pour les viticulteurs particuliers, des plus grands pour les grands producteurs et un énorme pour les spectacles musicaux.
Très belle fête à Meyrosse-ville avec une quantité inépuisable de bière, de vin et bien sur de Clairette.
Merveilleuse fête à Meyrosse-ville avec un énorme camion de restauration venu de la grand’ ville pour assurer 500 repas par jour.
Sauf que, Die-ville fermée et même cadenassée pour l'occasion (allez savoir pourquoi) était apparentée à un désert comme elle en connaît suffisamment pendant les trop longues journées d'hiver.
Une fête organisée sur le seul vrai parking qui donne accès à la ville, bravo fallait y penser.
Une fête qui a le mépris de croire que les commerçants et restaurateurs de la ville ne sont pas capables de satisfaire aux besoins de centaines de personnes, bravo fallait y penser.
Une fête qui fait imprimer ses flyer's à Toulouse avec l'argent du conseil général de la Drôme, bravo fallait y penser. (une copie de cet article est envoyée à Monsieur Didier Guillaume Président du conseil général de la Drôme).
Quant à cette merveilleuse décoration du village avec guirlande d'un autre âge et ballons de baudruche rappelant les kermesses des écoles d'il y a 50 ans, bravo fallait encore y penser.
C'était si vide que même la fanfare désespérée de jouer devant personne a écourté le tour de ville.
Nous avons peur qu'une telle réussite encourage les organisateurs à faire de même pour la fête de la transhumance. (il est vrai que si on les fait bien répéter, les 4000 moutons peuvent tourner en rond uniquement sur le parking de Meyrosse).
Nous ne sommes pas rancuniers et nous allons même donner quelques conseils pour les prochains préparatifs. Premièrement, pour éviter d'être mal reçu n'envoyer plus personne chercher de l'aide financière dans nos commerces et demander aux restaurateurs locaux l'élaboration d'un menu spécial fête. Deuxièmement, pour vider le centre ville de Die nous avons assez des directeurs de nos grandes surfaces locales qui pour ça sont de vrais professionnels eux. !
Ayant constaté le désastre commercial nous projetons maintenant plus loin notre inquiétude à savoir que pour une raison ou pour une autre (des travaux pharaoniques par exemple) on installe les marchés du mercredi et du samedi sur le parking Meyrosse.
Mais là serons-nous peut-être accusés de trop d’espiègleries ?
Pourtant comme elles étaient belles les fêtes de la Clairette place de l’Évêché quand la foule garée à Meyrosse se répandait dans toutes les rues de la ville.
Mais n'est pas André PITTE qui veut.
Jean-Claude PEYSSON soutenu et encouragé par de très nombreux commerçants.

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