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samedi 31 décembre 2011

Diois : Découvrir et connaître les plantes sauvages....

FloréMonts
FloréMonts est une association à but non lucratif consacrée à la connaissance et à la valorisation des plantes sauvages de montagne. Elle propose de faire vivre une botanique populaire par des découvertes, des échanges, des balades et des stages ethnobotaniques, ouvert à tout public, curieux de découvrir les usages des plantes sauvages et les paysages des montagnes du Diois et d'ailleurs.
Activités de l'association :
Formation sur la reconnaissance, la cueillette et la transformation des plantes sauvages comestibles, médicinales et tinctoriales .
Stages vie sauvage (avec le CEETS)
Balades et ateliers pour les enfants (scolaires et loisirs)
Formation professionnelle pour structures d'enseignement public (centre de formation agricole, lycée agricole, université) sur la botanique et l'ethnobotanique
ETUDE
Réalisation d'une étude ethnobotanique sur les usages populaires des plantes dans le Diois
Inventaires éco-floristiques et diagnostics patrimoniaux à destination des collectivités, des associations et des particuliers
Rénovation et réalisation de jardins ethnobotaniques (ancien monastère de Sainte-Croix)
Nous nous baladerons à travers champs, friches et bois pour aller à la rencontre d’une nature riche et surprenante : splendides orchidées et majestueuses asphodèles nous conteront l'infinie créativité de la nature. 
Nous aborderons les usages populaires des plantes sauvages qui, avant d’être jugées comme des « mauvaises herbes », ont d’abord été pour l’humanité des plantes compagnes : essentiels pour se nourrir, se soigner, construire… Ainsi, d'abondants savoirs populaires sur l’usage des plantes se sont construits et transmis au cours des âges...
Les sorties sont encadrées par Grégori Lemoine; les stages par plusieurs membres de l'association ainsi que par des intervenants extérieurs. Les dates des sorties peuvent être modifiées selon la météo. Réservation obligatoire par téléphone ou par mail.
Mardi 24 janvier à 19h  
au restaurant Tchaï-Walla rue Joseph Reynaud à Die
Diaporama-conférence : Les plantes sauvages et leurs usages traditionnels dans la Drôme
Grégori Lemoine, ethnobotaniste, et Vincent Delbecque, pharmacien
Entrée libre
26 février (9h-12h30)
Premières fleurs, premières saveurs
Cette demi-journée a pour objectif de retrouver la connaissance des usages alimentaires des plantes qui nous entourent : identification botanique, usages populaires, cueillette respectueuse des plantes et de leur milieu, modes de préparation, de transformation et de conservation.
Demi-journée.
8/10 euros
Samedi 10 mars (9h-12h30)
Salades printanières au gré des chemins
voir descriptif du 26 février
Demi-journée.
8/10 euros
Mercredi 14 mars
Land-art, créations paysagères à partir de matériaux naturels (enfants)
Demi-journée.
5 euros
24 au 25 mars
Stage vie sauvage
Boulc
Avec David Manise
Dimanche 1 avril
Fleurs et herbes sauvages comestibles
voir descriptif du 26 février
Demi-journée.
8/10 euros
6 au 8 avril
Stage vie sauvage
Boulc
Avec David Manise
Samedi 21 avril
Couleurs végétales : fabrication d'encres et de couleurs à partir de ressources végétales
avec Marie Marquet
Journée.
50 euros
5 au 7 mai
Stage vie sauvage
Boulc
Avec David Manise
Samedi 12 mai
Trésors culinaires et aromatiques des friches et des haies
voir descriptif du 26 février
Demi-journée.
8/10 euros
17 au 20 mai
Plantes sauvages médicinales et comestibles
Haut-Diois
Avec Vincent Delbecque, pharmacien et Satya Nacera, cueilleuse et productrice
225 euros
Mercredi 23 mai
Couleurs végétales : fabrication d'encres et de couleurs à partir de ressources végétales (enfants)
avec Marie Marquet
Demi-journée.
7 euros
9 au 10 juin
Stage vie sauvage
Boulc
Avec David Manise    
Association FloréMonts
Soubreroche
26410 Boulc
Tél. : 04 75 21 24 69
Mail : floremonts(((@)))orange.fr
http://floremonts.over-blog.com/

En 2010 , nous avons payé 2,5 milliards de dépassement d' honoraires...


Le fiasco de la liberté tarifaire des praticiens
Alors que les usagers du système de santé règlent l’écrasante facture des dépassements d’honoraires (2,5 milliards d’euros en 2010), ils sont en droit de s’interroger sur le bilan de la possibilité donnée à certains médecins de tarifer librement leurs actes (médecins de «secteur 2», en opposition au «secteur 1», à tarifs fixés par l’assurance maladie).
A l’épreuve des faits, le secteur 2 apparaît, trois décennies après son instauration, comme un échec patent. Il est à l’origine de graves difficultés d’accès aux soins avec, par exemple, une diminution de moitié du nombre de chirurgiens pratiquant les tarifs de la Sécurité sociale. Multipliés par 5,6 en trente ans, les dépassements d’honoraires grèvent par ailleurs significativement le budget des Français.
Douloureux pour les usagers, le secteur 2 est également néfaste pour les autres acteurs du système de santé. Alors qu’il devait limiter la quantité d’actes effectués, en les valorisant davantage, le nombre de consultations annuelles par Français a doublé depuis 1980. Alors qu’il devait régler les problèmes de rémunération des médecins, il n’a fait qu’accentuer les écarts de revenus entre spécialités.
Quelle légitimité accorder à un système qui rémunère un radiologue 216 000 euros nets par an en moyenne, quand, à diplôme égal, un pneumologue gagne 84 000 euros ?
Ce fiasco sans appel était pourtant prévisible. Cette réforme se basait sur un postulat erroné, qui la condamnait d’avance : voir en l’acte médical une prestation de service comme une autre. Dans ce cadre, il devenait naturel d’instaurer la liberté tarifaire, qui devait aboutir à une hiérarchie des prix reflétant la qualité de la prestation. En introduisant des éléments de marché dans le système de santé, celui-ci gagnerait en efficacité. C’était oublier la spécificité de l’acte médical. Ce qui est valable pour une coupe de cheveux ne l’est pas pour une appendicectomie !
Premièrement, au cours d’un acte de soins, le consommateur est placé dans une situation d’asymétrie d’information : alors que le praticien a une bonne connaissance de sa compétence et de son degré d’investissement, le consommateur ne dispose pas d’éléments pertinents pour en juger, hors cas de recommandation par un proche ou son médecin traitant. Pire, en l’absence d’autres éléments d’appréciation, un prix élevé peut tenir lieu de «caution qualité» ! Deuxièmement, dans un secteur où l’offre de médecins est rationnée (par le Numerus clausus) et le lieu d’installation libre, les consommateurs de certaines régions peuvent se trouver sans alternative. Peut-on parler de médecine libérale, quand l’usager est privé de sa liberté de se soigner au tarif sans dépassement ?
La liberté tarifaire est porteuse d’effets secondaires sévères pour les usagers du système de santé. Plutôt que d’apprendre des erreurs du passé, le gouvernement s’entête pourtant sur cette voie. Resté à la porte des négociations conventionnelles en juillet, son projet de secteur optionnel est revenu par la fenêtre législative, à l’occasion de l’adoption du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Si les décrets d’application étaient pris, certains médecins spécialistes pourraient pratiquer des dépassements d’honoraires (jusqu’à 50%), à condition qu’ils réalisent 30% de leurs actes au tarif conventionné.
Dans les zones en tension (Paris, Côte d’Azur), le plafond de 50% sera jugé trop bas par nombre de spécialistes, qui n’adhéreront pas au dispositif. A l’inverse, dans les régions où les dépassements sont aujourd’hui peu élevés, la prise en charge imposée aux complémentaires santé se traduira par un alignement des médecins sur ce nouveau tarif. En plus de pérenniser et de légitimer les difficultés d’accès aux soins, le secteur optionnel serait donc, selon les régions, soit sans effet, soit contre-productif.
L’UFC-Que choisir condamne l’acharnement «thérapeutique» dont le gouvernement se rend coupable pour maintenir en vie son désastreux projet de secteur optionnel et, à l’approche des prochaines échéances électorales, entend rouvrir, dans le cadre de son pacte consumériste, le débat sur la régulation des honoraires médicaux. La rémunération des actes médicaux doit être réévaluée, à la hausse comme à la baisse, pour façonner un système de santé plus équitable pour les professionnels de santé, plus juste et plus lisible pour l’usager et moins coûteux pour la société.
ALAIN BAZOT président de l'UFC-Que Choisir.
Les propositions et orientations de l’UFC-Que choisir en matière de santé sont disponibles sur le site www.pacte-conso.org.

Adieu l' ami....

Bien joué, Václav !
APrague, le changement de 1989 ressembla à un conte de fées. Après le président Gustav Husák, que l’on n’aimait pas, vint Václav Havel, le président bien-aimé. Soixante-dix ans auparavant, un autre penseur tchèque, Tomás Masaryk, avait été le fondateur de la République de Tchécoslovaquie libérale et démocratique.
En cette merveilleuse année 1989, ce fut de nouveau un auteur tchèque de réputation mondiale qui, avec ses amis, rétablit la démocratie et renouvela la république. La métaphore du philosophe roi revint à la mode. Sur le pont Charles, des jeunes femmes arboraient sur leur tee-shirt le portrait de cet homme calme et souriant qu’un juste sort tira de la prison pour qu’il aille incarner au Hradschin, au château où siégeait la présidence, la liberté des Tchèques. «Havel au château !» pouvait-on lire partout. Au début de l’automne, même les écrivains de l’opposition ne pouvaient croire que ceci pourrait arriver, après le Nouvel An, c’était la chose la plus naturelle ; et lorsque le Président se rendit en visite à Bratislava, le drapeau l’accompagna pour flotter là où il se trouvait. Il se distinguait parmi les autres chefs d’Etat par la vigueur de sa pensée, on l’invitait partout, les événements auxquels il assistait gagnaient en dignité.
Nous nous sommes rencontrés pour la première fois il y a quarante ans, j’avais remarqué son sourire chaleureux, son humour méditatif, le timbre grave de sa voix. En janvier 1990, je suis allé rendre visite au président Václav Havel en compagnie de ma femme et d’Adam Michnik. Nous l’avons vu à l’œuvre, au travail dans une brasserie du quartier du Château ; nous avons discuté entourés d’artistes gais aux cheveux longs, ses ministres fraîchement nommés. D’humeur canaille, il nous fit remarquer : «Vous voyez ? La chope de bière du Président dépasse les autres de deux doigts !» Sa chope était effectivement plus haute, mais Václav Havel y touchait rarement. On posait des documents devant lui : «Vasek, regarde, c’est une bonne idée, tu pourrais signer.» Il lisait les documents avec attention, y joignait de modestes remarques. Son rôle lui allait bien, il s’en acquittait avec une humilité à la fois souriante et grave. Le tourbillon dans lequel il s’était retrouvé lui donnait un peu le tournis, mais il tenait bon, il était dévoué, digne et n’en pensait pas moins.
Son destin semblait s’inspirer de l’œuvre de ce maître du théâtre de l’absurde, car en effet, n’était-ce pas étrange que peu avant, il fut encore en prison et que parmi ses gardes du corps, il découvrit quelques-uns de ses anciens gardiens ? Lorsque fin décembre 1992 la Slovaquie se scinda de la Tchéquie, ce que Václav Havel regretta, il démissionna de sa fonction de président tchécoslovaque et profita de l’interrègne pour venir à Budapest. Un service de protocole amical nous permit de prendre un petit-déjeuner en tête à tête à la résidence réservée aux hôtes étrangers du gouvernement. J’aurais voulu le convaincre de retourner à la littérature. Il avait accompli tout ce qu’il avait pu dans l’arène publique, le temps était venu pour l’artiste de reprendre le dessus, que la politique reste le domaine des politiciens. L’égoïsme de l’écrivain n’est pas tout, il y a aussi le devoir, dit-il avec un sourire indulgent, beaucoup de gens attendaient de lui qu’il restât président, désormais celui des seuls Tchèques. Le soleil inondait la pièce, à chacun son chemin, je retournai dans mon bureau, il partit présenter ses respects à son homologue hongrois, Arpád Göncz, un autre écrivain devenu président. Il poursuivit une vie tumultueuse et intéressante, il est possible que pendant une minute, mais pas plus longtemps, chacun de nous fût jaloux de l’autre. A mes yeux, il était l’incarnation d’une politique européenne clairvoyante et responsable.
Il nous arriva plus d’une fois de signer une déclaration commune, si Václav Havel pense que c’est bien ainsi, alors ça doit l’être, disait en moi une voix intérieure. Le président de la République tchèque, Václav Havel, était déjà à la retraite, plus maigre aussi, quand je suis allé lui rendre visite avec le maire de Budapest, l’ancien éditeur clandestin, Gábor Demszky. Nous l’avons rencontré dans la vieille maison d’une petite ruelle praguoise, entouré de collaboratrices amicales. Václav Havel était content de voir les vieilles éditions hongroises en samizdat de ses œuvres, fruits de beaucoup de travail courageux et diligent. Il parlait devant soi, la tête baissée, il était tel qu’il l’avait toujours été, souriant, fin, un peu mélancolique. En partant, j’ai remarqué à l’entrée un petit cœur tracé au rouge à lèvres sur la plaque de cuivre portant son nom. «Comme de juste», dis-je en moi-même.
GYÖRGY KONRÁD Ecrivain hongrois, ancien dissident
Traduit du hongrois par Miklós Konrád

vendredi 30 décembre 2011

Châtillon en Diois : L'Herbier du Diois...depuis 32 ans

L'Herbier du Diois
Fournisseur de plantes aromatiques biologiques depuis plus de trente ans
L’Herbier du Diois vous propose plus de 350 plantes aromatiques et médicinales, épices, thés et huiles essentielles issus exclusivement de l’agriculture biologique.
Depuis plus de trente ans, notre entreprise entretient des relations durables et solidaires avec ses producteurs et compte désormais plus de 500 clients dans le monde entier. Détenteurs de nombreuses certifications (AB, Demeter, Biosolidaire, NOP, JAS, BioSuisse…), nous offrons également à nos clients de précieux services, tels que des coupes à façons, des débactérisations ou des conditionnements sous vide.
N’hésitez pas à venir nous rencontrer au cœur du premier département bio de France, au sein de notre nouveau bâtiment écologique à énergie positive.
Notre entreprise, d’hier à demain
A ses débuts : la ferme du « Touret », 1979
L’Herbier du Diois a d’abord été une simple ferme, débutée en 1979 par les familles Wartena et Vink, des amis hollandais effectuant leur « retour à la terre ». Implantée à Vachères en Quint, dans la Drôme, la ferme du « Touret » devient ainsi la première exploitation de plantes aromatiques biologiques du Diois. Ses plants proviennent de bouturages d’herbes sauvages, initiant ainsi le passage de la cueillette traditionnelle à la culture en champs. D’emblée, cette petite ferme refuse la monoculture et se lance en parallèle dans l’élevage de chèvres. Une stratégie que nous continuons à encourager auprès des producteurs.
Aujourd'hui : au cœur d’une agriculture biologique et durable
Au fil des ans, ne pouvant fournir suffisamment de matière à nos clients, la ferme du Touret s’est petit à petit développée pour devenir fournisseur en gros d'une vaste gamme de plantes aromatiques issues exclusivement de l'agriculture biologique. Nous nous sommes également spécialisés dans la transformation des plantes (coupes à façon, pulvérisation, concassage…), la débactérisation et le conditionnement. Nos clients : des herboristes, des groupes pharmaceutiques ou cosmétiques et le domaine de l’agroalimentaire, en France comme à l’étranger. Grâce à nos relations étroites et durables avec les producteurs locaux et internationaux, grâce à notre savoir-faire et à notre longue expérience, l’Herbier du Diois est ainsi devenu un maillon incontournable dans le domaine des plantes aromatiques biologiques.
L’entreprise est également devenue une référence en terme de développement durable, non seulement par notre action en faveur d’agriculteurs des pays du sud, mais également en défendant les petits agriculteurs français. Nous avons notamment participé à mettre en place le nouveau label « Bio solidaire » en 2007, avec comme premier produit pilote : le tilleul de la région. Cette volonté de placer l’humain au centre de nos préoccupations se traduit aussi dans la gestion de nos salariés. Nous nous efforçons en effet de leur offrir les meilleures conditions de travail possible, avec un environnement sain (voir Notre bâtiment écologique), une recherche d’harmonie entre vie privée et vie professionnelle (35 heures hebdomadaire, possibilités de passer aux 4 jours), des formations diplômantes (en langues, en gestion du personnel, permis cariste, etc.), une complémentaire santé ou encore via l’organisation de moments d’ouverture extra-professionnels (concerts, excursions sportives).
Enfin, l’Herbier du Diois fait désormais figure d’avant-garde dans l’écologie grâce à notre bâtiment en ossature bois et isolation paille à énergie positive.
Demain : participer au rayonnement de l’agriculture biologique et du développement durable
A travers notre structure agricole « La Croix », l’Herbier du Diois applique son savoir-faire sur les terres dioises. L’objectif : devenir un centre de connaissance sur les plantes aromatiques et rechercher les meilleurs procédés de cultures. Mais également renouer avec nos origines… A terme, cette structure doit devenir un outil pour stimuler et aider les producteurs locaux et nationaux qui souhaitent se lancer dans la culture biologique des plantes aromatiques. L’Herbier du Diois entend ainsi participer au rayonnement de l’agriculture biologique tout en colportant les principes fondamentaux du développement durable.
Par ailleurs, au sein de l’Herbier, nous poursuivons sans cesse l’amélioration des procédés de transformation de la matière et sommes toujours plus exigeants sur la qualité des produits. De nouvelles certifications (notamment IFS pour 2012) sont en cours d’obtention. Nos nombreux projets avec les producteurs nationaux et internationaux nous permettent également d’élargir chaque année notre gamme végétale.
Nous ne visons pas la rentabilité à tout prix : nous recherchons sans cesse une harmonie entre notre développement économique, nécessaire pour poursuivre notre activité et offrir du travail, et un développement durable et solidaire. Ainsi, nous construisons des partenariats stables sur la base d'engagements pluriannuels avec les producteurs afin qu’ils ne soient pas dans l’incertitude et puissent eux aussi se développer. Nous ne demandons jamais d’exclusivité et encourageons la pluriactivité. Concernant l’écologie, nous sommes très sensibles aux moyens de transport de nos matières et encourageons fortement les transports doux auprès de nos salariés, via des primes. Nous restons très attentifs au développement de nouvelles technologies propres et avons comme projets d’installer des bornes pour véhicules électriques sur notre parking. Nous recyclons tous nos déchets papiers et éliminons petit à petit les emballages intermédiaires inutiles en optant pour des emballages réutilisables. Enfin, nous sommes en train de créer un véritable havre de biodiversité tout autour de notre bâtiment, grâce à des plantations variées et des points d’eau.
F 26410 Châtillon en Diois
Tél. +33 (0)475 21 25 77

 info(at)herbier-du-diois.com

Noël en Juin...

Noël en juin
Il me suffit de jeter un œil par la fenêtre pour me demander quel est le sombre abruti qui a décidé qu'on fêterait Noël en décembre.
Franchement, pire moment de l'année pour une fête familiale, je ne vois pas. Il fait moche, il fait froid, les jours sont tellement courts qu'on n'a pas le temps d'aller d'un bled à l'autre, alors quand il s'agit de traverser la France pour y retrouver des membres épars d'une famille éclatée, c'est gravement n'importe quoi.En fait, l'idéal, ce serait de fêter Noël en juin.
Il fait beau, il fait chaud, les journées sont interminables et on pourrait se faire des brochettes à la plancha dans le jardin au lieu de se taper une bûche à la crème au beurre dans une pièce sombre et mal chauffée qui transpire encore la raclette de la veille. Sans compter que par une de ces collisions calendaires dont le hasard rieur des astres a le secret, l'année prochaine, Noël tombe juste après la fin du monde. Certes, les blagues ravageuses de l'oncle Norbert après le quatrième verre de Chartreuse ont quelque chose de délicieusement postapocalyptique, mais après une crise de civilisation et un effondrement économique total, on va tout de même avoir un peu de mal à se faire péter la sous-ventrière lors du traditionnel gavage orgiaque dégoulinant d’hypocrisie et de bons sentiments, sous les feux lancinants d'un sapin irradié à la mode de Fukushima.
Oui, bon, ce billet est un bon gros n'importe quoi que j'assume parfaitement, parce que sur ce chapitre précisément, du grand foutage de gueule qui fait du bruit pour qu'on ne s'entende pas pleurer, je trouve que nos éditocrates et nos médias couchés sont devenus des références orgasmiques et totalement indépassables. Juste comme ça, pour alimenter nos rires grinçants de fin d'année, l'idée grotesque et foncièrement réjouissante que pour pallier à la désertification médicale organisée de longue date, on enverra les pouilleux de la cambrousse se faire soigner chez le véto du coin. Je ne sais par pour vous, mais il y a dans cette fuite en avant dans le
portnawak le plus échevelé quelque chose qui touche au sublime, à l'absurde dérision que les Monty Python ont élevée au rang d'art. On a dépassé depuis longtemps le stade du fameux : plus c'est gros, plus ça passe! Aujourd'hui, c'est un peu comme si tout le monde était complètement blasé par la vertigineuse connerie ambiante. Même la surenchère du grotesque et du pathétique ne parvient plus à nous sortir de la torpeur un peu poisseuse d'une sieste digestive un peu pénible. C'est le festival aux mauvaises nouvelles et aux surenchères de petits maréchaux autosuffisants qui clament à s'en exploser les carotides qu'il faut encore et toujours plus serrer la vis, encore et toujours plus poursuivre sur la même pente des mauvaises solutions à des problèmes qu'on ne se posait pourtant pas.
Alors quoi ? Il faudrait en plus que je me casse le tronc à commenter doctement le merdier ambiant pour tenter d'y trouver du sens ? Machin à dit ça, bidule fait deux points de mieux dans des sondages qui ne représentent qu'eux-mêmes, les petites phrases, les combats des chefs, les cascades de chiffres qui ruissellent sur nos épaules pour toujours nous noyer dans le même refrain :
c'est la crise, c'est la crise, c'est la crise ; prépare ton dos, mon corniaud, tu es inscrit pour la prochaine charette des surnuméraires, mais en attendant, surtout, tiens-toi sage et prépare-toi à ton ultime devoir de petit soldat de l'apocalypse financière, en dilapidant chaque sou si misérablement arraché à la cupidité ambiante pour des fêtes clinquantes et sans signification.
L'autre jour, il m'a demandé, presque rituellement, comme chaque année :
qu'est-ce que tu veux pour ton anniversaire ?
Autrement dit, quel objet devra-t-il immoler sur l'autel du temps qui passe ?
Je lui ai juste dit :
ce que tu veux, pourvu que ce ne soit pas un objet.
Parce que je suis cernée par les objets, certains utiles, la plupart dérisoires et encombrants, les agents secrets du monde selon Ikéa, le moment arrive où il me faudra encore acheter un nouveau range-objets. Rationalité absurde de cet espace qui nous bouffe le temps.
Ce que je veux.
Finalement, telle est la question.
Ce que je veux vraiment.
Ce pour quoi je me lève, ce pour quoi je vis, j'écris, je ris et j'existe. Ce qui me fait avancer. Ce qui me fait vibrer.
Ce que je veux vraiment.
Non pas ce dont j'ai besoin, comme d'un pépin sous la pluie, non pas ce dont j'ai envie, comme d'un thé glacé une fin d'après-midi de juin, justement.
Ce que je veux vraiment.
Ce que nous voulons réellement.
Ce que je veux, c'est du temps. Pas du temps en plus, ça, on est tous plus ou moins logés à la même enseigne. Le temps d'une vie.
Non, ce que je veux, c'est du temps en mieux, du temps gagné sur les temps perdus.
Du temps pour nous.
Du temps pour aimer.
Du temps pour vivre.
Et c'est tout.
http://blog.monolecte.fr

jeudi 29 décembre 2011

Le déni écologique...mode ultra conservatrice.

Cela peut être inefficace d'écrire sur un torchon que vous n' avez pas lu...Mais mieux vaut prévenir que guérir : Bruckner entre mensonges et amalgames, manipulations et dénis fétides.
Bruckner ou le fanatisme du déni
Dans le Fanatisme de l’Apocalypse, publié cette année chez Grasset, Pascal Bruckner explique que le discours écologique transpire la peur de l’avenir et la haine de soi, contredit la nature prométhéenne de l’aventure humaine, trahit une méfiance en la science et véhicule une vision médiocre de l’existence. Ses chantres sont des pères-la-morale qui se servent de l’imprécation pour masquer leur ignorance. Ils injectent dans nos esprits le poison de la mauvaise conscience. Leur dogme est l’un des visages de l’ancestrale lutte contre l’humanisme. Habituellement, dans ce genre de réquisitoire, l’avocat général prouve les connivences de l’accusé avec l’extrême droite ou le stalinisme. Sinon, la charge reste incomplète. Page 100, on respire : «Le pétainisme est à double titre précurseur d’une certaine écologie.»
Voilà donc le procès des décroissants, des penseurs de la sobriété, des chevaliers du bio et des écolos expédié en 274 pages. Tous des Khmers. Vous voulez changer les habitudes des hédonistes qui jouissent sans entraves, tirer de «la belle insouciance des Trente Glorieuses» les heureux baby-boomers, les prendre à rebours de leurs désinvoltures ? Vous êtes un fasciste vert. Vous prétendez que les dernières décennies ont pesé sur la planète un poids dont il faut désormais s’acquitter ? Vous êtes un «commissaire politique du carbone» seulement capable de lancer les «anathèmes d’un Heidegger» (chez Pascal Bruckner c’est à cela que l’on réduit la prodigieuse conférence du philosophe allemand sur la technique).
Le monde de Bruckner est merveilleux. On y dort bien, la vie y est douce et la nature, à peine touchée, n’a pas à se plaindre. Vous imaginiez à l’instar de ce pauvre professeur E. O. Wilson qu’une sixième extinction des espèces se profilait ? N’avez-vous pas vu, répond Bruckner, ces augustes matous «par un beau jour de printemps traverser une rue du Marais à Paris» ? Vous pensiez que les mégapoles urbaines de 18 millions d’habitants provoquaient sur leur environnement une pression mortifère ? Ne savez-vous pas, plaide l’essayiste, que «certains grands hôtels à Paris utilisent les services de fauconniers qui dressent buses, aigles et éperviers» ? Tout va bien. D’ailleurs, le pourfendeur de fanatiques nous livre un message d’espoir à la fin de son livre : «Il faut parier sur le génie de l’espèce humaine» qui saura bien, un jour, «improviser de nouvelles solutions». Le monde n’est donc pas menacé. Les hommes de progrès pourront continuer longtemps à pratiquer «les sports motorisés au bord de la mer» dont les écolos veulent les priver. Le jet-ski, somptueuse conquête des gardiens de l’humanisme.
Ce livre est une stèle à la gloire de l’amalgame, un ouvrage aussi pollué par le raccourci qu’une plage de Plestin-les-Grèves par les algues vertes. Pascal Bruckner convoque au même plan la mémère à son chien et les philosophes de l’éthique animale, place à égalité le déchaînement technique et l’anthropisation des forêts par les peuples premiers et nous explique que l’incapacité des historiens à prédire l’avènement de Hitler prouve qu’on ne peut jamais rien prévoir (et surtout pas le changement climatique). L’auteur assène des interrogations aussi subtiles qu’un raisonnement de Claude Allègre (quoique mieux exprimées) : comment être contre le progrès alors que l’aspirine soigne la migraine ? Comment établir un «pacte de courtoisie» avec les éléments alors qu’il y a des tsunamis ?
Le Fanatisme de l’Apocalypse aurait constitué un brillant pamphlet s’il avait paru sur une planète en santé. L’argumentation s’apparenterait à un décryptage de la manipulation des peurs, telles que Delumeau l’analyse au Moyen Age. L’ennui est que, contrairement à l’an mille où nul danger global ne pointait, il y a péril en la demeure. La totalité des scientifiques le dit, moins quelques esprits forts qui masquent derrière la publicité du révisionnisme climatique l’indigence de leurs travaux. Pascal Bruckner s’opiniâtre pourtant à proclamer que le discours écologique relève de l’obsession, de ce besoin d’inventer une menace afin de justifier une doctrine coercitive.
Tout le monde s’accorde à ne pas trouver toujours très sexy les décroissants en pull de chanvre nourris au tapioca bio. Mais l’esthétisme ne justifie pas le déni. Refuser de considérer les mutations du monde, regretter sa jeunesse insouciante, s’inquiéter de l’émergence d’une nouvelle conscience collective et juger grotesques les préoccupations de ses contemporains, est le signe de quelque chose : c’est que l’on commence à vieillir.
SYLVAIN TESSON
(Photo : Amoco Cadiz : la pire catastrophe écologique de l'histoire
Le 16 mars 1978, le supertanker « Amoco Cadiz », affrété par la compagnie américaine Amoco Transport, s'échoue aux larges des côtes bretonnes (en face du village de Portsall, dans le Finistère) : 220 000 tonnes de pétrole se répandent sur près de 400 kilomètres. Cet accident est encore considéré aujourd'hui comme la plus grave catastrophe écologique de l'histoire).

Les jeunes font peur à Sarkozy...

Cette année, volontairement le gouvernement n'a pas inciter les jeunes à s' inscrire sur les listes électorales.
Batho: le gouvernement «ne veut pas que les citoyens votent»...
(Photo : Delphine Batho (gauche), aux côtés de Marisol Touraine, le 16 novembre, lors de la présentation de l'équipe de campagne de Hollande; Sébastien Calvet)
Députée des Deux-Sèvres, Delphine Batho est l’une des porte-parole de François Hollande pour la campagne 2012.
Y a-t-il une absence délibérée d’une grande campagne gouvernementale d’information pour appeler les «invisibles», notamment les jeunes, à s’inscrire sur les listes électorales ?
Il y a une anomalie. Le gouvernement voudrait recréer les conditions d’un nouveau 21 avril 2002 où le FN était au second tour de la présidentielle qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Or, dans un contexte de crise et de défiance vis-à-vis de la politique, il faut justement mobiliser les citoyens, pour dire que le vote sert ; qu’il peut changer de politique. Si défiance il y a, elle est surtout contre la politique de renoncement de Nicolas Sarkzozy, notamment face aux marchés financiers qu’il s’était pourtant engagé à réguler…
Quand Benoit Hamon attaque le chef de l’Etat sur les dépenses liées au G8 ou assure que «s’il consacrait un peu moins d’argent du contribuable à financer sa campagne électorale déguisée, ça ferait trois ou quatre campagnes d’inscription sur les listes électorales», ce n’est pas démagogique ?
Non, c’est la réalité : on est à des années-lumière d’une République irréprochable. Il y a une forme d’alliance tacite entre l’UMP et le FN. Le gouvernement ne veut pas contrecarrer l’idée d’une désertion et de désenchantement de la politique, ni combattre les causes profondes de la crise actuelle. Il veut parier sur une désaffection démocratique, comme celle qui avait poussé la droite et l’extrême droite au lendemain du premier tour de la présidentielle en 2002.
Le gouvernement dit avoir consacré 181 000 euros à la campagne de communication 2011 pour inciter les Français à s’inscrire ou à se réinscrire, 30 000 euros de plus qu’en 2006. Et que l’essentiel de cette somme – 150 000 euros – est déployée sur le Web…Selon la Cour des comptes, les dépenses de communication des ministères ont augmenté de 50% en trois ans. Les seuls dépenses du SIG [Service d’information du Gouvernement, ndlr] ont augmenté de 324% entre 2006 et 2010! Et on veut nous faire croire que 180 000 euros affectés pour l’exercice d’un droit démocratique, c’est suffisant…
 180 000 euros, c’est aussi le montant d’une étude payée par le ministère de l’immigration pour un coaching en images d’Eric Besson, quand il était ministre…Le gouvernement a aussi dépensé 4,3 millions d’euros pour le seul achat d’espace publicitaire destiné à faire la com de sa réforme des retraites. La réalité, c’est que 180 000 euros pour un tel enjeu républicain est un chiffre parfaitement dérisoire…
L’UMP dénonce une campagne du PS. Qui n’a «certainement pour seul objectif que de faire oublier aux Français les ambiguïtés et les indécisions du candidat François Hollande», dénonce Valérie Rosso-Debord, députée UMP de Meurthe-et-Moselle…Ce n’est pas un argument. Et par ailleurs, elle ne répond pas à la question des manquements du gouvernement sur la campagne d’inscription sur les listes électorales. Cela montre que le PS touche juste quand il pose cette question essentielle et légitime. Nous, on ne préjuge pas du vote des citoyens : on veut juste l’encourager. Au fond, on peut faire un lien entre le verrouillage de l’appareil d’Etat par Sarkozy et la volonté de ne pas mobiliser l’Etat pour que les citoyens votent. Car la droite, du RPR à l’UMP, a toujours considéré le pouvoir comme sa chose. Or, la force du peuple, c’est son bulletin de vote.
CHRISTIAN LOSSON

La journée de la Femme, c' est tous les jours.....

BEIT SHEMESH (Israël) – Israël : manifestation contre la discrimination des femmes par des religieux.
(Photo : Des Israëliens protestent contre les discriminations à l'égard des femmes imposées par une frange radicale d'habitants ultra-orthodoxes, le 27 novembre 2011 à Beit Shemesh, Gali Tibbon,
en Israël) – Plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés mardi soir à Beit Shemesh, près de Jérusalem, pour protester contre les discriminations à l'égard des femmes imposées par une frange radicale d'habitants ultra-orthodoxes.
Israël, État, raciste et confessionnel, et machiste...oui pour 50% des Israéliens...
Cette manifestation, qui s'est déroulée dans le calme, était organisée à l'appel d'organisations laïques et religieuses de défense des droits des femmes.
Elle a toutefois réuni un peu moins de monde que prévu, alors que certains médias avaient annoncé plus de 10.000 participants.
Parmi les manifestants, figuraient des Juifs laïques mais aussi des ultra-orthodoxes fustigeant les "talibans" de leur communauté. "Exclure les femmes, c'est la ligne rouge. Il faut stopper cela maintenant", pouvait-on lire sur des banderoles.
Plusieurs centaines de policiers avaient été déployés en renfort et la circulation avait été interdite dans le périmètre de la manifestation afin d'éviter tout débordement, selon une porte-parole de la police, Louba Samri.
Beit Shemesh, une ville nouvelle de 80.000 habitants, en majorité des juifs orthodoxes, a été le théâtre ces derniers jours de violences entre les forces de l'ordre et une fraction de religieux radicaux, qui réclament une séparation stricte entre hommes et femmes.
Certains habitants s'en sont aussi pris à des équipes de télévision.
Une chaîne israélienne avait diffusé la semaine dernière des images dans lesquelles on voyait un zélote de Beit Shemesh cracher sur une femme. L'agresseur a été interpellé par la police à la suite du reportage, qui montrait aussi une fillette de huit ans, elle-même d'une famille religieuse, se faire insulter parce qu'elle n'était pas vêtue assez "modestement".
Ces derniers jours, la police a tenté à plusieurs reprises d'enlever des pancartes exhortant à séparer les hommes des femmes dans l'artère principale de Beit Shemesh. Elle s'est heurtée à la résistance violente de plusieurs dizaines de "harédim" (juifs ultra-orthodoxes, littéralement "craignant Dieu").
Ces incidents ont provoqué une émotion considérable en Israël, forçant les dirigeants politiques à réagir.
Dans un discours devant la conférence annuelle des ambassadeurs, le président Shimon Pérès a estimé mardi que "nous tous --religieux, laïques et traditionalistes-- devons défendre l'image de l'Etat d'Israël contre une minorité qui bafoue la solidarité nationale et s'exprime de façon odieuse".
Le maire de Beit Shemesh, Moshé Aboutboul, cité par des médias, a estimé que "les hommes violents doivent être mis en prison". "J'ai demandé à la police israélienne d'agir avec fermeté contre tous les fauteurs de troubles", a-t-il affirmé en dénonçant "la violence perpétrée par quelques extrémistes qui font honte à la ville et à l'ensemble de la société israélienne".
Les médias ont rapporté de nombreux incidents ces dernières semaines, en particulier des attaques verbales et physiques contre des femmes ultra-orthodoxes et des tensions provoquées par le refus de certaines de s'assoir à l'arrière des autobus.
La ségrégation est pratiquée sur les lignes de bus fréquentées par les religieux depuis la fin des années 1980, mais les prises de position de femmes ultra-orthodoxes contre cette pratique, relayées par la presse, ont particulièrement ému l'opinion publique.
Des organisations féministes se sont par ailleurs opposées, avec succès, à la pratique tacite de certains publicitaires qui consistait à faire disparaître les images de femmes des affiches dans les villes fortement religieuses, notamment à Jérusalem, sous la pression de la communauté ultra-orthodoxe.
MCD-APL

lundi 26 décembre 2011

Die 26150 : Habiterre, un écohabitat partagé....

Un habitat groupé écologique et autogéré
Complicités et partage, développement d’une vie sociale
Il apporte une réponse concrète au droit fondamental de chacun de bénéficier d’un logement abordable, adapté à ses choix de vie
Il s’inscrit dans la mouvance de l’économie solidaire, dans un climat de simplicité et de partage des savoirs et des biens, car il est géré dans un cadre coopératif
Il repense le mode de vie et l’organisation du quotidien selon une approche et des valeurs de développement durable
Il offre d’autres conditions de vie, fondées sur un rapport au voisinage qui conjugue, au quotidien, indépendance de chaque famille, solidarité villageoise et développement du lien social
Sa démarche est guidée par des valeurs humanistes, de partage, de mise en commun, d’entraide et de complicité

Le projet Habiterre en Diois s’inscrit dans la ligne des expériences d’habitat groupé telles qu’on les connaît dans les différentes régions de France, d’Europe et d’Amérique du Nord. Il est le fruit d’un long travail de conception et de préparation, mené en amont par un noyau de base formé de quelques personnes, disposant chacune d’un parcours et d’expertises nombreuses dans les domaines des coopératives et de l’économie solidaire, de la construction en bois et plus largement du développement durable.
Bienvenue sur le site d’Habiterre
http://www.habiterre.org/


Les scop résistent mieux au délabrement économique....

Coopératives, capital sympathie
L’économie sociale et solidaire est en pleine expansion en France, et notamment les Scop.
Le capital appartient aux employés, les dirigeants sont élus sur la base d’une voix par salarié. Bienvenue dans le monde des Scop, société coopérative ouvrière de participation. L’appellation évoque un univers que l’on croit disparu, celui de la fraternité ouvrière, au temps des utopies socialistes de la fin du XIXe siècle. Erreur. La France en comptait 51 en 1884, elles sont plus de 2 000 aujourd’hui et emploient près de 40 000 salariés. Dans le monde de l’économie sociale et solidaire, les Scop occupent donc une place de choix.
Associer les salariés au capital de l’entreprise ? Jacques De Heere sait ce que cela signifie. Voilà près de vingt ans que les 1 250 salariés d’Acome, la plus grande société coopérative de France, spécialisée dans la fabrication de câbles électriques, fibre optique, matériels pour planchers chauffants hydrauliques… l’élisent au poste de PDG.
«Participation». A l’instar de centaines d’autres dirigeants de Scop et autres entreprises du secteur de l’économie sociale et solidaire, De Heere explique que, à côté du panthéon de la corporate governance d’inspiration anglo-saxonne où siègent les actionnaires (shareholders), peuvent s’installer les autres parties prenantes de l’entreprise (stakeholders), à savoir ses salariés. Et ça marche, avec plus de 400 millions d’euros de chiffre d’affaires. «Ici, 50% des résultats restent dans l’entreprise, ils sont impartageables, le reste est distribué sous forme de participation aux salariés», explique le PDG d’Acome. Exit les chasseurs de plus-values rapides et risquées, bonjour les fourmis, prêtes à faire fructifier leur entreprise pour encaisser les salaires et partager les bénéfices.
A Mortain (Manche), sur les cinq sites de production d’Acome, pas de stratégie industrielle sans prendre en compte le long terme, la pérennité de l’entreprise et surtout l’emploi. «L’emploi n’est jamais une variable d’ajustement, insiste Jacques De Heere. Dans une entreprise classique, c’est l’actionnaire majoritaire qui décide du futur de l’entreprise. Ici, comme dans toutes les Scop, le capital est détenu à 100% par les salariés. Alors, forcément, ils sont très engagés dans toutes les facettes de la vie de l’entreprise. Idem pour les clients, qui, en outre, ressentent une forme de sécurisation.»
Question : vit-on plus heureux dans une Scop ? «Oui, c’est généralement le cas. La plupart des salariés éprouvent une forme d’engagement vis-à-vis de l’entreprise, mais aussi vis-à-vis de tout leur environnement. Entre toutes les parties prenantes, c’est-à-dire les salariés, mais aussi les clients, les élus politiques ou encore les collectivités sociales, les liens sont plus étroits», répond Thierry Jeantet, président du Forum international des dirigeants de l’économie sociale. Et d’ajouter : «La Scop, comme les mutuelles d’assurances, les fondations, les coopératives de toutes sortes, offre des structures pour une gestion plus humaniste. Beaucoup de dirigeants de ce secteur avouent avoir le cœur à gauche.»
Quête de sens. Au niveau mondial, les coopératives, tous secteurs confondus, représentent un chiffre d’affaires de près de 1 000 milliards d’euros. En France, la nébuleuse fragmentée et complexe de l’économie sociale et solidaire (ESS) compterait près de 800 000 entreprises, avec ou sans numéro de registre du commerce, selon Thierry Jeantet (coopératives agricoles, industrielles ou bancaires, mutuelles d’assurances ou de santé…) et plus d’un million d’associations. Cette «autre économie», qui occupe 2,2 millions de personnes en France et contribue pour 10% au PIB, fait partie intégrante du tissu socio-économique. «Mais on l’ignore encore trop souvent», regrette Jeantet. Dispersée, disparate, l’ESS n’en reste pas moins dynamique : 440 000 emplois y ont été créés depuis 2000, dont 31 000 en 2010. Les associations se taillent la part du lion, avec 3 emplois sur 4 et plus de 80% des établissements employeurs.
Même si elle pâtit d’une image quelquefois ringarde, l’économie sociale et solidaire attire de plus en plus de candidats : jeunes diplômés sensibles à l’engagement humanitaire ou aux thèses altermondialistes, salariés dégoûtés par la logique purement financière de l’entreprise classique ou tout simplement en quête de sens dans leur travail. Mais, en cette période de restriction des finances publiques, en France mais aussi dans la plupart des pays développés, ce secteur risque de jouer, plus que jamais, un rôle d’amortisseur social…
VITTORIO DE FILIPPIS

2011 : année des indignés

«Indignés» :  L’impact est déjà irréversible
Après un mois et demi de mobilisation, la préoccupation des «indignés» de Wall Street reflète l’avis d’une majorité d’Etasuniens.
Malgré le manque d’une structure cohésive et d’une liste formelle de revendications, le début spontané de conscientisation et de protestation des indignés new-yorkais est en train de susciter des dizaines d’expériences similaires, bien au-delà de Wall Street.
Sous-estimé dans un premier temps par la droite étasunienne, le «moment» politique des occupants new-yorkais a mûri et s’est transformé en un mouvement au potentiel suffisant pour altérer radicalement le discours idéologique de la société nord-américaine. Sans l’imaginer au début de l’occupation du Zuccotti Park le 17 septembre, les «indignés» du cœur de Wall Street ont contribué ces dernières semaines à démasquer un mensonge historique nord-américain.
Jusqu’ici, ce mensonge avait fonctionné relativement bien pour les deux partis dominants (républicain et démocrate). Il assure que le capitalisme est intrinsèquement bon et donc capable de s’auto-ajuster en période de crise, afin d’assurer sa continuité au nom de celle du rêve américain.
Une bonne dose de candeur politique – dénoncée comme une faiblesse par leurs détracteurs – a facilité la tâche aux occupants de Wall Street dans la dénonciation de ce mensonge. De plus, ils ont dénoncé violemment la complicité des parlementaires, des gouvernants et des dirigeants de ces deux partis qui, durant les dernières décennies, ont approfondi l’énorme brèche entre le «1 pour cent» des plus riches et l’autre «99 pour cent».
Une expression, un slogan, inspiré par Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie 2001, relevant que 1% des personnes les plus riches du pays contrôle 40% de la richesse nationale.
Quarante-cinq jours après le début du mouvement, la question essentielle est: quel est son avenir? Où va-t-il? Ses protagonistes – au nombre desquels on trouve de nouveaux jeunes déplacés et laissés sans emploi par la crise, dont beaucoup vivent sans logement ou sans assurance médicale à cause du darwinisme social dominant – préfèrent ne pas faire de spéculations à ce propos.
Toujours plus méfiants face aux périls que pourrait entraîner toute institutionnalisation de leur autorité morale insoupçonnée et de leur vision quasi prophétique, ces occupants et leurs compagnons dans de nombreuses autres villes préfèrent continuer à cultiver des réseaux solidaires pour que le débat s’étende et s’intensifie.
Sans une masse critique significative de conscientisation et de protestation, estiment-ils, la tâche de capter l’imagination des autres indignés de ce pays et du reste du monde est difficile. Pour le moment, la tâche essentielle consiste à poursuivre la résistance au Zuccotti Park, pour que leur action essaime et se répercute le plus loin possible.
Tant les sympathisants que les détracteurs du mouvement spéculent sur le fait que les premiers froids et les premières neiges à New York gèleront littéralement l’ardeur des occupants. C’est possible.
Mais il est aussi possible que leurs compagnons solidaires dans beaucoup d’autres lieux réussissent à assurer la continuité du mouvement. Et même si cela n’arrive pas, de toute façon, l’impact des occupants est déjà irréversible.
Toujours plus de gens s’identifient à leur protestation créative et pacifique, ainsi qu’au signal qu’elle renvoie. Une enquête du
New York Times, publiée le 26 octobre, semble le confirmer: la moitié des personnes interrogées croient que la préoccupation des occupants de Wall Street «reflète généralement le sentiment de la majorité des Nord-Américains».
Ariel Ferrari
Théologien et docteur en littérature latino-américaine, à New York.
Traduit de l’espagnol par Hans-Peter Renk



mercredi 21 décembre 2011

Die et la Vallée de la Drôme : 10èmes Rencontres de l' Ecologie en 2012

        
                                              
10 èmes Rencontres d’Ecologie au Quotidien
Du 21 janvier au 12 février 2012

Dans la Vallée de la Drôme
A Die dans la Salle Polyvalente du 27 01 au 07 02 2012
  Vivre la Transition
 Energétique – Economique – Sociale… 


"Vint un temps où le risque de rester à l'étroit dans un bourgeon était plus douloureux que le risque d’éclore." Anaïs Nin

Métamorphose

Ne sens-tu pas que partout dans le monde, quelque chose se passe ?
Le changement est en route.
Face à l’interdiction de choisir notre mode de vie dans le respect du vivant, nous nous sommes mis en marche.
Pas à pas, nous exprimons notre dignité.
Nous sommes tous reliés.
Nous sommes tous responsables.
Que notre conscience, notre cœur, soient le moteur de nos actes.
Nous les peuples, sommes les véritables porteurs de l’humanité.
Nous créons ensemble de nouveaux modes de prise de décisions pour construire nos sociétés.
Précipitons  l'avènement d'une société plus juste, plus humaine et plus épanouissante
Il est temps de se reconnaître comme une seule et même grande famille humaine.
Nos pieds n’ont pas de frontières.
Unissons nos mains. C’est le moment de la convergence.
Construisons la Transition. Célébrons la vie !
                                                                      Convergence citoyenne

Sauf indication contraire, les conférences, films et ateliers se déroulent à la Salle Polyvalente ou dans des salles en-dessous

 Bd du Ballon à Die-26

Samedi 21 janvier                     Ecologie au Quotidien

Espenel-rive droite– Association Labelvie (rourebel.fr)

Inscription au 04 75 79 04 47
10h Visite des installations solaires thermiques et photovoltaïques
12h: Repas partagé convivial
14h Atelier d'échanges : Quels matériaux pour la rénovation et la construction ?
15h30 Atelier d'échanges l'Eco-consommation en pratique
Point Information Energie ADIL26 
  
Dimanche 22 Janvier                  Se Relier à la Nature

 Visite d’éco-sites

10h à 12 h Maison en auto-éco-construction et toit végétalisé
François de Robert Chemin de Justin-Die

10h Ateliers Pratiques
Au Locataire (face à la Mairie de Die)
9h30 Préparer des légumes Lacto-fermentés
Valérie Philippot

Lundi 23 janvier                                                           

Saillans 26- Café Associatif l’Oignon- 55 Grand Rue
20h Le Point sur les OGM
Mutantes ou Transgéniques les nouvelles plantes de l’Agrobusiness
Marie-Aude Cornu- Association Rés'OGM Info

Mardi 24 janvier                           Terre Solidaire

Crest 26-Salle des Acacias – Crest-chemin des Acacias
20h Film-Débat  Coltan : du sang dans nos portables
Comment notre vie quotidienne repose sur le pillage de l’Afrique
Survie, les Amis de la Terre 26

Die- Restaurant le Tchaï-Walla-8 rue Joseph Reynaud
19h Les plantes sauvages et leurs usages traditionnels dans la Drôme
Grégori Lemoine, ethnobotaniste, et Vincent Delbecque, pharmacien
20h30 Repas Bio thématique  Sur Réservation : 04 75 21 00 94

Mercredi 25 janvier                         Fêter le Vivant

Saillans-Café Associatif l’Oignon
10h et 17h30 Atelier Découverte Le Jeu de Peindre (de 4 à 99 ans)
Jouez avec les couleurs et laissez s'exprimer votre spontanéité au sein d'un groupe intergénérationnel. (Sur inscription au 04 75 21 41 34)
Audrey Benhamou

19h Soupe Participation Libre
20h La Spiruline, l’algue bleue de santé
Film-Débat autour de la culture de la spiruline artisanale
Emilie Mendès - Ferme La Pimpreline

Die
Café Le Voltaire – 81 rue Camille Buffardel
15h Rencontre Littéraire Mémoires de Soies
L’histoire des magnaneries et des soieries de Saillans
Maguy Ailliot et des témoignages de salariés qui ont vécu cette saga industrielle  

Baradie-rue Emile Laurens
20h30 Spectacle La légèreté de l'être
Poésie, contes, musique ancienne, chants du monde (6€)
Richard Morin et Myriam Satre

Jeudi 26 Janvier                   Le Champ des Poètes      

Saillans -Café Associatif l’Oignon
19h Soupe Participation Libre
20h La Spiruline, l’algue bleue de santé
Film-Débat autour de la culture de la spiruline artisanale
Emilie Mendès - Ferme La Pimpreline

Die - Cinéma Le Pestel
20h30 Film  Bovine de et avec Emmanuel Gras
Plongée muette dans l’univers de vaches aux prés : une ode au monde animal
Jocelyne Porcher, chercheur au CNRS, Alain Boutonnet et des éleveurs du Diois    
                                                                         
Début des Rencontres de l’Ecologie au Quotidien
à la Salle Polyvalente de Die - Bd du Ballon

Buvette et Restauration Biologique et Locale sur place

Vendredi 27 Janvier                    Osons Ensemble
                                                        
10h  Atelier Pratique  Jeux Coopératifs 
Découverte des jeux coopératifs à travers "le tour du monde en solidaire". Adultes et enfants à partir de 8 ans
Maryline Wolf-Roy-Coop'Aire de Jeux

14h Achat Collectif de Foncier
Témoignages : Jean Paul Berthouze-La Tour de Borne, Jean-Marc Blanc-GFA de Soubreroche, Robert Delage-Terre de Liens

14h Eau làlà : Approche sensible et artistique de l’eau
Diaporama sur l’harmonieuse beauté des formes sculptées par l'eau
Serge Reynaud, Artiste Plasticien

18h30 Qui fuis-je ? Où cours-tu ? À quoi servons-nous ?
 Vers l'intériorité citoyenne
Faute de trouver un sens à notre vie à l’intérieur de soi, nous avons créé une société où tout le monde court hors de soi. Cette course nous épuise et épuise la planète. L’intériorité acquiert plus que jamais une dimension citoyenne.
Thomas D’Ansembourg, auteur de «Cessez d’être gentil, soyez vrai »

21h Bal Folk  Itinerança Groupe Coriandre
Une Musique Trad’actuelle Occitane pour faire voyager les oreilles et mettre des braises sous vos pieds

Samedi 28 janvier                Vivre Simplement                

Crest- 26 Café Citoyen l’Arrêt Public – Rue de la République
12h Inauguration des Rencontres de l’Ecologie et buffet partagé

Die

10h Atelier Pratique
Des Clefs pour une Intériorité Citoyenne
Communication Non Violente : la connaissance de soi permet la responsabilité citoyenne et se révèle la clé du développement social durable 
Thomas D’Ansembourg

11h30 Inauguration Festive sur le marché à Die
ClownFérence : la transition est-elle une transfiction ? Jacques Laris
Danse spontanée-Flash-Mob
12h   Repas Partagé sur le Marché- Die
Soupe et verre de l’amitié offerts par Ecologie au Quotidien

14h  Film/débat : Cultures en Transition de Nils Aguilar
Témoignages sur la transition écologique en cours : comment se réorganiser face au triple défi des changements climatiques, du pic pétrolier et de la crise économique et financière
Résonance locale : Danielle Grunberg et Groupes Transition Diois et Crestois

16h : La Biovallée, un Territoire en mutation
Agriculture, Energie, Emploi, Habitat, Terres Agricoles … : quel avenir construisons-nous ?
Annie Agier-élue régionale, Jean Serret-Président Biovallée
Didier Jouve-élu régional, Laurent Déré-vice-président Communauté des Communes du Val de Drôme
Résonance locale : Conseils Locaux de Développement du Diois et du Val de Drôme

Au restaurant associatif les Locaux Loco rue de l’Armelerie-Die
16h Atelier découverte : Votre bébé a tant à dire !
Découvrez un moyen de communication efficace avant ses premiers mots
 Sylvaine Mauplot- Signes & marMots

18h00 Inauguration des Rencontres de l’Ecologie sous la présidence de Michel Gregoire-vice-président du Conseil Régional, Jean Serret- Président de La Biovallée®, Michèle Rivasi-Députée Européenne, la Mairie de Die, Le PNRV, le Conseil Général
Suivie d’une Clown’Férence sur la Transition - Jacques Laris

19h00 Buffet Biologique offert par Ecologie au Quotidien

20h30   La Puissance des Pauvres
Les voies de l’espérance passent par la redécouverte par chacun de sa propre puissance d’agir. Le mode de vie simple, convivial et solidaire des pauvres ne serait-il pas la richesse méconnue ou dénigrée des politiques occidentales de développement ?
Majid Rahnema- diplomate, ancien ministre iranien,  auteur du livre "Quand la misère chasse la pauvreté", Léla Bencharif-vice présidente  Rhône-Alpes à l’Education Populaire  

22h30 Soirée Danse et Musique avec Fara Nume
Musique à danser mais pas que… sur des musiques tziganes, roumaines, yiddish…

Dimanche 29 Janvier                Agir Ici et Maintenant

Pendant la journée, interventions des clowns de l’Atelier de Zita

9h30 Petit déjeuner au Cinéma le Pestel
10h30 Film Tous au Larzac  de Christian Rouaud 
Dix ans de résistance et de solidarité pour sauver des terres agricoles. Plus que jamais le Larzac est vivant !
Résonance Locale : Michel Terrail et Claude Veyret syndicalistes paysans, acteurs de cette lutte

10h Ateliers Pratiques
Changer le regard sur la vieillesse et le handicap 
Le yoga assis, une activité de soin où tous les aspects du yoga sont intégrés
Jeannot Margier, professeur de yoga

10h Ateliers d’échanges

Le Jeu de la Ficelle : pour construire un monde plus solidaire
Jeu en groupe : une ficelle représente les impacts de nos choix de consommation sur l’environnement, les pays du Sud, la santé
Daniel Cauchy et Aline Wauters de la Maison du Développement Durable, Louvain la Neuve

Petits Gestes et Grand Changement
Quand préserver l'environnement devient une source de plaisir !
FRAPNA Drôme

14h Au coeur de la vie : le Souffle !
Une écologie du Souffle est nécessaire pour acquérir une meilleure santé et un meilleur équilibre
Benoît Tremblay-Pneumacorps

15h45 Les Abeilles et les Hommes depuis la nuit des temps
Aujourd'hui l'équilibre entre abeilles, hommes et nature se rompt. Causes, enjeux et pistes de solution
Marie-Laure Drouet-Rouhier-Géographe et apicultrice-Bee Happy

17 h Atelier Pratique
Relier le Corps et le Souffle
Réaccorder son corps en relâchant les tensions chroniques pour libérer la respiration et la voix
Benoît Tremblay 

17h30 Film/Débat Tenter l'alternative... pour une gestion douce de la forêt
Nous avons besoin de la forêt… Comment l’exploiter sans la perturber durablement ?
Liseron Fleury -Réseau pour les Alternatives Forestières, Pierre Athanaze -ASPAS, Alain Givors- Pro-Sylva
Résonance locale : Gilbert David-
LPO26, Pascale Laussel-Dryade, Les Bonnes Energies, FRAPNA Drôme, ONF

20h30 Table-ronde  Santé en Danger : il est temps d’agir
Film Débat Notre Poison Quotidien avec Marie-Monique Robin- réalisatrice
Comment les produits chimiques, qui contaminent notre chaîne alimentaire, sont-ils testés, évalués, réglementés ?
Menace sur nos Neurones : Alzheimer, Parkinson… et ceux qui en profitent. Quelles sont les principales causes des maladies du cerveau et de la paralysie de la prévention ?
Marie Grosman-biologiste et Roger Lenglet- philosophe et journaliste

22h Danses en Cercle  avec Catherine Ronce
Le Cercle permet de retrouver un sens d'unité et d'appartenance

Lundi  30 janvier                        Sobriété Energétique

Ateliers d’Echanges 

10h Les Jardins Familiaux, Les Jardins Collectifs et la Permaculture

Jean-Pierre Galle-Les Potagers Rares, Robin Jenkins-Ferme de Pauliane, Tessa Papinot-AIRE

10h Cuisine en transition
Fabrication de cuiseurs collectifs (poêle, casserole et four) et chauffe-eau individuels à partir de matériaux de récupération
David Szumilo

14h L’Eau au Quotidien
Quelle eau, buvons nous ? Quelles économies ? La vie quotidienne d’un bien commun précieux et limité

Laurent Cluzel-Mairie Die, Chrystel Fermond et Julien Nivou-Syndicat Mixte Rivière Drôme, Yannick Gachet-Coucou Services, usagers

Atelier Pratique 
14h Danses en Cercle
Danses du monde : découverte des pas de base, présence et joie du partage
Marie-Noëlle Trotignon et Michèle de Chazournes

16h Film Aquanime, Le cœur de l'eau avec Loïc Sallet, réalisateur
Les principes de la dynamisation de l’eau donnent des clefs de perception holistique au spectateur

17h L’eau, miroir des 4 éléments
L’eau est un outil d’approche fondamental pour appréhender le fonctionnement de tout principe vivant
Loïc Sallet-réalisateur

Salle Joseph Reynaud- Rue Joseph Reynaud- Die
17h La Fusion Froide, une énergie nouvelle
Présentation d’une nouvelle forme d'énergie
Jean-Paul Bibérian-ingénieur en physique nucléaire

20h30 Film/Débat Contradictoire : Sortir du Nucléaire ?
Pourquoi, avec la sobriété et les énergies renouvelables, une  transition énergétique est-elle possible ? Quel avenir pour la filière nucléaire ?
Michèle Rivasi, députée Européenne, Vincent Fristot-négaWatt, Emmanuel Lambert, Service Communication de la Centrale Nucléaire de Cruas, Frédéric Marillier, directeur d’Enercoop-Rhône Alpes
Résonance Locale : Christine Malfay-Régnier-Sortir du Nucléaire 26/07

22h30 Danses en Cercle
Catherine Ronce

Mardi 31  janvier                                 Territoire Vivant

10h  Changer … notre idée du changement
Nous désirons œuvrer à un monde plus solidaire, plus durable. Pour quel changement nous engageons-nous ?
Daniel Cauchy et Aline Wauters

Locaux Loco- rue de l’Armellerie
9h30: Echanges autour de la prévention et de la santé.
Bonnes idées, petites recettes, fausses croyances, auto-guérison
Monique Bessaz

10h Atelier Cuisine en transition
David Szumilo

Salle Joseph Reynaud-Die
10h Chaîne Humaine pour sortir du nucléaire
Préparation d’une action de sensibilisation artistique et non-violente
Sortir du Nucléaire-26

14h Vivre en Habitat Léger et Mobile
Film/Débat sur le Village des Possibles d’Eurre-26
Partage sur une expérience de création d’un espace d’habitats éphémères
Collectif du Village des Possibles, Alter Action, Jean Tissot-paysan, Les Toits Filants

Salle Joseph Reynaud- Die
14 h  Le Sens des Maladies
Comment l’utilisation intelligente des capacités du corps permet d’aller vers la guérison.
Alain et Brigitte Scohy -Institut Paracelse-Espagne

14h Atelier Pratique Quand le Jeu Libère le Je : Découvre ton Clown !
Partir à la découverte de son propre clown, une démarche ludique et impliquante
Mathilde Fincato - l'Atelier de Zita

17h Quelles Activités pour un Territoire Vivant ?
Favoriser la création d’activités et d’entreprises d’utilité sociale pour faciliter la transition économique
Danièle Demoustier-IEP de Grenoble, Cyril Kretzschmar-vice-président de la Région, Didier Jouve-Elu régional, Sophie Fourquin-Val de Drôme Diois Initiatives,   Solstice
Résonance locale : Estelle Jabrin-Site de proximité CCD, Marc Bodinier-Président d’une entreprise d’insertion, Catherine Letessier-A.S.CO.
(Association Service Conseil)

20h30 Controverse : Gaz de Schiste, où en est-on ?
Extrait du film Gas Land  de Josh Fox
Impacts sur la santé et l’environnement de l’extraction du gaz de schiste avec fracturation hydraulique
Alain Chabrolle-Vice-Président Rhône-Alpes, Yann Louvel-Les Amis de la Terre, Frapna Drôme, Jean Marie Combet-représentant de la Fédération Française des combustibles, carburants et chauffage
Résonance Locale : Guillaume Vermorel-Collectif Non au Gaz de Schiste

22h  Concert  Boireaud + Marcus
Duo acoustique de chansons chipées au quotidien. Un habile mélange de dérision, de gravité et de tendresse

Mercredi 1er février                           Terre Sacrée

Die

 Atelier des Couleurs-Quartier Cocause
10h-11h30 Atelier Découverte : Expression libre intergénérationnelle
Une invitation à peindre pour soi de manière libre et spontanée... (Enfants et adultes sur inscription uniquement 04 75 21 76 36) 
Emmanuelle Mounier

Atelier Pratique
10h00 - L'ART de nous rencontrer ... !
Une exploration du mouvement dansé et de la matière colorée
Mélanie Hermant-Ateliers de Mélaya 

Sur le Marché de Die
11h30 Spectacle : Tous les chemins mènent au jardin
Contes de sagesse et folles mélodies de saison
Par Raphaël Faure-conteur et Nikolaus Hatzl-musicien, luthier

10h - Cuisine en transition
David Szumilo

13h30 à 16h30 Mercredi Ecologie pour les Jeunes (gratuit)

13h30 Les Enfants Prodiges  …En l'honneur des enfants différents !
Conte africain interactif avec chant, danse et musique
Doro Dimanta, artiste Franco-Tchadien

14h15 Ateliers pour Enfants  Se Relier à la Nature
- Fabriquer une pile avec des légumes, observer des microbes au microscope… Cybelle Brazzi- Graine d'Aubépine
- Vision Macro de la Nature  Pierre Van Gerdinge-AstroDrôme
- Créer avec la Nature Audrey Benhamou
- Fabriquer un nichoir en bois et osier Emmanuelle Mounier
- Voyage Imaginaire avec ciseaux et papiers Marie Pouillaude
Dessinons pour la Planète et Goûter Bio

Restaurant Un Air de Famille-Quartier les Aires- 8 rue Kateb Yacine
14h L’Agriculture est Malade… Soignons la Politique Agricole Commune
La Politique Agricole Commune (PAC) conditionne l’avenir des agricultures européennes : réduction de la pauvreté, lutte contre le changement climatique et perte de biodiversité sont en jeu.
Geneviève Savigny- Via Campesina, Sébastien Rosset-agriculteur Conf’07, Frapna Drôme

La Roche sur Grâne-26 - Les Amanins
14h Visite guidée du Centre Agroécologique des Amanins
15h30 Film de Anne Barth : Quels enfants laisserons-nous à la planète ? - Débat : Quels parents devons-nous être pour ces enfants ? Isabelle Peloux-Directrice de l’Ecole des Colibris

Die

Salle Joseph Reynaud
17 h Alchimie de l’Amour 
Comprendre les différentes formes d’amour dans la relation pour se libérer de nos conditionnements et trouver l’épanouissement
Alain et Brigitte Scohy

17h Confiscation des Terres et Souveraineté Alimentaire
Des millions de familles paysannes et des peuples indigènes sont privés de leurs moyens de subsistance. Comment préserver les terres agricoles ?
Geneviève Savigny,  - Via Campesina, Emmanuel Cochon-CCFD, Conf’07

17h30 Atelier Découverte
Le langage du corps : de ses symptômes à son écologie !
Marie-Lise Labonté

20h30 Libérer la Blessure de l’Enfant Intérieur : une clé vers l’autoguérison
L'enfant intérieur est la partie de nous qui porte notre blessure fondamentale. Comment retrouver le processus de réparation intérieur de l'autoguérison

Marie-Lise Labonté, psychothérapeute Québécoise, auteure de «Au coeur de notre corps - Se libérer de nos cuirasses»


Jeudi 2 février                            Connais-toi toi même

Ateliers Découverte

10h Cuisine en transition
David Szumilo

10h30 Sous toutes les coutures!
A vos mètres...partez! A la rencontre de vos talents de créateur(trice) avec un choix de tissus et modèles simples à réaliser
Claire Chemel

10h30 Atelier Pratique
Changer le regard sur la vieillesse et le handicap 
Jeannot Margier-professeur de Yoga

10h Atelier d’échanges  Les Toilettes Sèches à Domicile
Comment fabriquer des toilettes sèches pour la maison
Denis Mauplot

Gymnase le Dôme du Glandasse- rue Maurice Faure
12h Atelier Découverte Danse Libre
Association Chemin Dansant

14h Film En Cultivant les Fleurs du Futur : Agua Boa
avec la réalisatrice Valérie Valette
Une expérience socio-écologique sur un des plus grands barrages du monde au Brésil

14h Physique quantique : que sait-on vraiment de la réalité ?
Quelle action concrète la physique quantique peut-elle avoir dans notre vie quotidienne ?
Hervé Derycker-Physicien-astronome

17h   Pour Réenchanter le Monde …,
                                          quelle histoire nous racontons-nous ?
N’est-il pas temps de nous raconter une histoire de liens, d’interdépendances, de toile de la vie et de paysages habités ?
Daniel Cauchy

20h30 La Maladie cherche à me guérir
Nos douleurs physiques sont le reflet des émotions : et si notre corps n’était qu’un écran sur lequel se projettent les tourments de notre être. Mais ce langage, nous ne savons plus l’entendre…
Philippe Dransart-Médecin Homéopathe

22h30 Danses 

Vendredi 3 février                        Précieuse Humanité

Atelier d’Echanges
10h Changer … notre idée du changement
Daniel Cauchy  et  Aline Wauters

10h Cuisine en transition - David Szumilo

Restaurant Associatif Locaux Loco- 9 rue de l’Armellerie
9h30 Réinventons le Faire Ensemble
Expérience d’une nouvelle forme d’organisation favorisant l’émergence d’une transformation individuelle au service de la coopération.
Université du Nous
10h Film/Débat Au coeur de la voie lactée de Dunken Copp                                 
Un fascinant voyage à travers l'espace-temps qui fait le point sur l'état de nos connaissances sur la Voie Lactée, notre galaxie
Pierre Van Gerdinge-AstroDrôme

14h Film-débat Pour l’amour de l’eau d’Irena Salina
L'eau, «or bleu», source de vie, est une ressource en péril : les enjeux locaux d'une crise mondiale.
Résonance Locale : Philippe Garin-Michaud-Les Gandousiers, Benjamin Berne-Toilettes du Monde

Salle Joseph Reynaud
14h La Communication Animale 
Dès l’apparition de la vie sur Terre les échanges entre êtres vivants se sont créés et perfectionnés depuis plus de 3 milliards d’années
Gilbert David-LPO Drôme

Restaurant associatif  Locaux Loco
14h Atelier Pratique : Jouons l’entraide et la coopération !
Le Jeu du Tao : Permettre une vraie rencontre avec soi même et l’autre pour explorer notre transition individuelle 
Université du Nous

17h Table-Ronde  Repenser nos Déplacements dans le Diois
Avons-nous besoin de notre voiture en permanence ? Imaginons ensemble les déplacements et l’éco-mobilité sur notre territoire
Témoignages : Alain Matheron-Vice-Pt du Conseil Général Drôme, Didier Jouve-Elu régional, Anne Rialhe-Négawatt, Bernard Collignon-Comité de Ligne Ferroviaire, Cityzen Car, Hubert Fèvre, CLD du Diois et Val de Drôme

17h Le Jeu de Peindre : Souvenirs et Mémoires
Il faut aussi sauver le paysage intérieur de l’être humain. L’art de peindre appartient aux artistes, le Jeu de Peindre appartient à tous les autres
Arno Stern-Praticien d’Education Créatrice, créateur du Closlieu

20h30 Spectacle Clown-elfe Neztoile  « Merci d’être venue» 
Un magnifique message d’espoir rempli d’humanité, d’humour qui nous touche au cœur et nous éveille à la nécessité de la joie même dans la maladie ou près de la mort. Un spectacle profond à Vivre !
Sandra Meunier-Art-thérapeute dans les hôpitaux

22h   Danses en Cercle
Vivre l'unité et l'harmonie à travers des danses simples, joyeuses ou méditatives, sur des musiques du monde
Marie-Noëlle Trotignon et Michèle de Chazournes

Samedi  4 février                         Espaces de Reliance

Petit déjeuner au GretaViva5 : Zone artisanale-Die
10 h : Quelles économies d'énergie pour les entreprises et les structures locales ?
Echanges d'expériences autour d'un petit déjeuner ouvert aux entreprises, associations, commerçants, artisans
Infos/Inscription : 04 75 21 00 56

9h Conférence/Débat : Construire l'intelligence
Prévenir les dysfonctionnements scolaires et y remédier
Élisabeth Nuyts-Chercheuse en pédagogie

Ateliers Pratiques

Aux Locaux Loco
9h30 Expérimentons d’autres modes de gouvernance
Comment la pratique du cercle et la gestion par consentement, issue de la Sociocratie, génèrent créativité et intelligence collective.              Université du Nous
10h R’éveille ton clown !
Etre clown : Etre là, en contact avec sa vie du dedans dévoilée, les pieds sur terre, la tête dans les étoiles et prendre la vie pour un jeu
Sandra Meunier- Clown-thérapeute


Animation sur le Marché de Die
11h Petits Gestes… Grand Changement
Frapna Drôme

14h  La Biodiversité sur notre territoire
Les retours naturels et les réintroductions des espèces sauvages
Christian Tessier, Gilbert David-LPO Drôme

14h L’Homme malade des plastiques?
Film Planet Plastic de Werner Boote
Le plastique, symbole de notre société de consommation, présente un grave danger pour l’homme et l’environnement
Jacqueline Collard-présidente de l’association SERA, Claude Reiss-ancien directeur de recherche du CNRS
Atelier Pratique
14h30 Le Plaisir d’Apprendre
Construire la concentration, l'écoute et la lecture pour travailler avec plaisir
Élisabeth Nuyts

Restaurant les Locaux Loco
15h Atelier Pratique : Jouons l’entraide et la coopération !
Université du Nous

Au Locataire face à la Mairie de Die
15h Atelier Créons des Marionnettes (7-10ans)
Réalisation de marionnettes en récup'
Barbora Prechova- L’Arbre à Sons

17h Alimentation, Santé, Planète 
La santé humaine est menacée et l’alimentation moderne est en cause. Partage d’une expérience de guérison pas l’alimentation, un message plein de vie et d'enthousiasme 
Jean Briffaut-auteur de  «Alimentation Santé Planète »

17h Nouveaux Collectifs Citoyens : Développer notre pouvoir d’agir
Construire des espaces de reliance au sein de nos collectifs pour avancer en cohérence avec des valeurs de transformation
Ivan Maltcheff-auteur de «Les nouveaux collectifs citoyens»

20h30 Concert-Musique à Danser avec le Groupe Frisette
Danser à travers tous les temps et les pays : Brésil, Valse, Musiques de l’Est, Tango, Passo Dub…

Dimanche 5 février                      Sobriété Heureuse

10h 2 films sur les Peuples Indigènes
« Le Territoire Pasto de Colombie » avec Chloé Jaquemou, réalisatrice
Comment concilier développement économique et respect de la terre
« Ruben du Guatemala » réalisé par Ecologie au Quotidien
Ruben, guatémaltèque, a créé une association de revitalisation de sa culture Maya

10h Ateliers Pratiques

La Bienveillance envers soi-même
Comment prendre soin de nous-mêmes et de nos relations afin de cultiver notre joie de vivre
Anne Van Stappen,  Docteur en médecine, formatrice en CNV, auteure de "Ne marche pas si tu peux danser"

Alimentation Vivante et Energie de Vie
Développer les 5 sens pour une approche sensible de l’alimentation
Jean Briffaut 

Aux Locaux Loco- rue de l’Armellerie
10h Expérimentons d’autres modes de gouvernance
Université du Nous

14h Hold’up sur l’Ecologie
L'écologie est à la mode. Responsables politiques et acteurs économiques font assaut de belles formules plus vertes que vertes. Mais à l'heure du bilan, les mots cachent mal l'inaction des décideurs.
Stéphen Kerckhove-Délégué général d'Agir pour l'Environnement, Résonance Locale : Philippe Meirieu-Vice-président Rhône-Alpes

Salle Joseph Reynaud
14h Film La Maison 3 E-Ecologique, Economique, Entr'aide
Comment construire une maison 3 E sans passer sa vie à la payer
Patrick Baronnet-La Maison Autonome, Alain Arnaud-Ar’Terre

Atelier d’Echanges
14h  La Communication dans tous ses Etats !
Comprendre et communiquer avec une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer
Lydia Pizzoglio-orthophoniste, formatrice

Aux Locaux Loco Rue de l’Armellerie
14h Atelier Pratique : Jouons l’entraide et la coopération !
Université du Nous

17h Un Art du Dialogue au Service d’un Art de Vivre
La Communication Non Violente, une Ecologie Relationnelle au service de la Bienveillance, la Coopération et la Paix
Anne van Stappen

Salle Joseph Reynaud
17h Film/Débat Toucher Terre ….
Les créateurs du lieu «La Maison Autonome» témoignent qu’il est possible de partager sans polluer les ressources de la terre et de bâtir un monde plus heureux
Patrick et Brigitte Baronnet  

20h15 Face à la Crise, Développer des Autonomies
Des solutions concrètes à explorer à partir d'une expérience vécue au quotidien depuis 35 ans. L’homme se réconcilie avec la terre, avec lui-même et retrouve son chemin d’humanité
Patrick et Brigitte Baronnet, créateurs de la Maison Autonome

20h30 Cinéma Le Pestel 
Film  La pluie et le beau temps d’Ariane Doublet
Un documentaire en quête de sens sur la mondialisation. La culture du lin, de la Normandie à la Chine

22h30 Danses en Cercle
Animées par Michèle de Chazournes

Lundi 6 février__________   Grandir en Humanité

9h30 à 16h30 Forum Ouvert : Expérience d’Intelligence Collective
Quelle vision avons-nous pour notre territoire ?
Quelles actions locales pour amplifier la transformation de nos territoires ? Faire émerger et présenter des projets pour se relier et agir ensemble
Olivier Massicot- Les Colibris-Tous Candidats, Ecologie au Quotidien, Ecole de la Nature et des Savoirs, Les Amanins

Atelier découverte 
16h Votre bébé a tant à dire !
Sylvaine Mauplot- Signes & marMots
                                        
17h L’Economie Non-Violente
Film/Débat Sarvodaya de Louis Campana et François Verlet
Comment la création de sociétés villageoises en Inde a permis à des millions de personnes de s’émanciper de déterminismes sociaux
Etienne Godinot-Gandhi International
Résonance Locale : Groupe Transition Diois-Monnaie Locale Complémentaire, Alain Duez-l’âge de faire, La Mesure-Romans

20h30 Crise Economique et Crise Sociale : Sortir du Mur
Extrait du Film « Indices » : Vincent Glenn
Inventons les outils pour que le développement de nos sociétés s’accompagne d’une croissance en humanité. Un appel à remplacer le plus-avoir par le mieux-être
Patrick Viveret-philosophe, ancien conseiller à la Cour des comptes, Annabel Bonnefous- Professeur de Développement Durable
Résonance Locale : Didier Jouve-Conseil Régional Rhône Alpes

22h30 Danses

Mardi 7 février                      Transition et Résilience

16h Cercle de Parole «Vivre la Transition»

19h Repas Partagé de Clôture
21h Danses

Fin  des Rencontres de l’Ecologie au Quotidien
à la Salle Polyvalente de Die - Bd du Ballon

Mercredi 8 février_________                 Terre Fertile

Crest – Cinéma Eden-Quai Béranger de la Blache
20h 30 Film/Débat  La Révolution des Sols Vivants de Perrine Bertrand
Présentation par des acteurs de terrain de solutions écologiques respectueuses du sol et adaptées pour l'agriculture et le jardinage
FRAPNA Drôme, François Sausse-agriculteur

Samedi 11 février                        Approche Sensible                                      

Espenel – Labelvie-Rourebel- (rourebel.fr)

Ateliers Découverte

10h  Ecologie de la Relation
Expérimenter des relations sensibles de coeur à cœur
Marie et Brian Levin 

13h Repas Partagé

14h Faire « corps » avec votre respiration
Lien entre le corps, le souffle et la voix pour un mieux-être au quotidien
Julien Schoebel - Pneumacorps

15h30 Mieux Etre et Pleine Conscience : Vivre l’Instant Présent 
Une pratique pour se libérer de nos conditionnements et réduire le stress
Anne Tesson- Association Résonance-Gestion du stress et Relaxation

Cobonne-26-Salle Communale près de la Mairie de Cobonne
14h la Bio-Dynamie
Une méthode agricole en phase avec les exigences de notre temps
Visite de la Ferme de Baume Rousse en Biodynamie
Stéphane Cozon-paysan en Biodynamie

Die- Quartier Les Combes
10h à 12 h : Visite d’Habiterre : habitat groupé en éco-construction
Point Informations Energie ADIL 26
Inscription obligatoire au 04 75 79 04 47

Aouste-sur-Sye Quartier Saint Christophe
14h à 16h  Visite d'une habitation des années 60 éco-rénovée
ADIL26 Inscription obligatoire au  04 75 79 04 47       

Dimanche 12 février                                Tous Egaux
      
Espenel-26 (rive droite) Labelvie-Rourebel
10h Film- Débat Le Revenu de Base pour tous
Penser les moyens pour dissocier le revenu du travail, c'est permettre de libérer les forces créatrices propres à chacun en préservant le besoin d'équité entre tous
Suzanne Ollagnon-ATOS:Alliance pour la Tri-articulation de l'Organisme Social

12h Repas Partagé

14h Ateliers participatifs sur le Revenu de Base
Partage des questions soulevées par le film, des réflexions dans le contexte économique actuel, et élargissement des perspectives.

Les 4 saisons d'Ecologie au Quotidien

Samedi 21 janvier au dimanche 12  février 2012
Rencontres de l’Ecologie « Vivre la Transition énergétique, économique et sociale.. »
Avril 2012
Journée de la Terre et de la Biodiversité
Juillet 2012
Relocaliser l’Economie
Octobre 2012 
Eco-Construire dans la Vallée de la Drôme

L'association "Ecologie au Quotidien" a pour objectif de sensibiliser les habitants à l'impact de nos gestes quotidiens sur l'environnement, la santé,  la société, le vivant et de proposer des alternatives.


Pendant les Rencontres de l’Ecologie

Soyez acteurs de ces Rencontres : réagissez, agissez, exprimez vos idées,
vos projets pour esquisser la trame d’autres possibles à l’Espace Eco’Potes

- Restauration & Buvette biologiques tous les jours à 12 h et 19 h
- Après les conférences, échange convivial autour du Bio-Bar
Salon de gratuité : Amenez les objets que vous voulez donner
ou/et repartez avec ceux dont vous avez besoin tout au long des Rencontres de l’Ecologie.
- Intermèdes Musicaux avec des Artistes locaux
-  Exposition  d’Oeuvres d’Artistes du Diois et d’ailleurs 
- Conférences/débats : Animations interactives organisées par Ecologie au Quotidien
- Expositions : Transition Energétique, Arehn, Les capacités naturelles des plantes-inf’ogm, Le Jardin des abeilles-Bee Happy, toilettes sèches, bac à compost, lombri-compostage, four solaire…
- Espace Corporel matin et soir : Taï Ji, Danses, Yoga du rire…
- Espace Enfants : jeux et dessins     
- Espace Détente et Bien-être – Inscription sur place
- Espace Librairie avec la Balançoire de Crest, Edition Yves Michel, Silence, Passerelle-éco…
- Tout au long de l’année : Les 4 Saisons d’Ecologie au Quotidien
- Sorties Nature- LPO Drôme, Lectures de Paysages-Claude Veyret
- Tables rondes/Débats -Ateliers/Animations/Formations
La manifestation se déroule à la Salle Polyvalente, Bd du Ballon à Die (26).
sauf indication contraire


Participation aux Rencontres de l’Ecologie

- ECO PASS Rencontres à partir de 25 € donnant accès à toutes les Expositions, Conférences, Tables rondes, Films, Visites de sites, Ateliers d’Echanges et Ateliers Découverte 
(Exceptés : spectacles, ateliers pratiques, Bals et films au Cinema Le Pestel)

- Journée 8€ (5€/TR-tarif réduit)
 - Conférence/film: 5€ (3€/ TR)
 - Soirée Danse/Bal: 8€ (5€ TR)
 - 1 Journée+Bal : 12€ (7 € TR)    
 - Ateliers pratiques : 10€ (5€ TR) Inscription au 04 75 21 00 56
 - Films au Cinéma Le Pestel : Consultez la plaquette du Cinéma
 - Accès aux Rencontres de l’Ecologie gratuit  pour scolaires et étudiants

     Les difficultés financières ne doivent pas être un obstacle
à votre participation. Nous consulter sur place.

- Pour venir, pensez à utiliser le Covoiturage : 

- Pour l’hébergement, contactez l’Office du Tourisme de Die :
04 75 22 03 03 www.diois-tourisme.com



Nous remercions les partenaires ci-dessous pour leur participation aux Rencontres de l'Ecologie 2012 :
ADEME (69), ADIL-26 , Agir pour l'Environnement 75), un Air de Famille (26), AIRE Trampoline (26), Alter’action (26), les Amanins (26), Les Amis de la Terre (26), A.R.E.H.N (76), L’Arrêt Public (26), Ar’Terre (26), Arte-tv ,  ASPAS (26), AstroDrôme (26), Atelier de Zita (26), Atelier des Couleurs (26), ATOS, Bee-Happy (26), Biovallée®(26), les Bonnes Energies (26), Café Associatif l’Oignon de Saillans, Café Le Voltaire de Die, CCFD-Terre Solidaire, les Champs de l’Aube (26), Chemin Dansant (26), Cinéma le Pestel (26), C.N.R.S (75), Communauté des Communes du Diois (26), Communauté des Communes du Val de Drôme (26), Confédération Paysanne (07), Conseil Local de Développement du Diois (26), Conseil Local de Développement Vallée de Drôme (26), Les Colibris, Coop’aire de jeux (26), Coriandre,  Conseil Général de la Drôme, Conseil Régional Rhône Alpes, Coop’aire de Jeux (26), CouCou-Service (26), LPO Drôme (26), Conseil Général de la Drôme, Ecrire et changer la vie (26), Edition Yves Michel (04), E.MAGE (26), ESAT-Cat de Recoubeau (26), Fédération des Oeuvres Laïques (26), Ferme de Baume Rousse, Ferme de Paulianne (26), Réseau-FAIR et Collectif Richesse (75) , Festival du Conte de Bourdeau (26), Florémonts (26), Forum Ecohabiter-26 de Eurre, F.R.A.P.N.A (Fédération Rhône Alpes pour la Protection de la Nature- 26,
Gandhi International, Les Gandousiers (26), Gîtes Panda (26), Graine d’Aubépine, Greenpeace (38), GretaViva5 (26), Habiterre (26), Héraldie (26), Imagerie (26), Jaillance (26), Labelvie (26), Lafia Cie (26), Librairie La Balançoire (26), Le Locataire (26), Locaux-Loco (26), LPO Drôme, Ludambule (05), Maison du Développement Durable-Louvain la Neuve, MarMots (26), Médiathèque Départementale Diois-Vercors (26), MédiasCitoyensDiois (26), NégaWatt (26), Office National des Forets (26), P.N.R.V (Parc Naturel et Régional du Vercors 38-26), les Potagers Rares (26), SERA (26), Réseau Diois Transition, Réseau Crestois Transition,  Res’Ogm 26, Résonance (26), Signes & Mar’mots ( 26), Silence (69), Solstice (26), Survie 26/07, Syndicat Mixte Rivière Drôme(26), Sortir du Nucléaire 26/07, Tchaï Walla (26), Terre de Liens (26), Trièves Après-pétrole (38), Toilettes du Monde (26), Université du Nous (74), le Village des Possibles (26) , Via Campesina,   la Ville de Die et le Personnel Municipal (26)…


Ecologie au Quotidien  Le Chastel 26150 DIE  Tel  04 75 21 00 56